Je crie victoire, le BB (brevet blanc) est enfin achevé…
Mais malheureusement, il reste les fameux résulats, que nous attendons avec impatience. C’est vrai que je me suis bien sentie en ce qui concerne le français, l’histoire également et puis il y a les mathématiques que peu de personnes, je pense, ont réussies… Mais ce que j’aime dans les épreuves, c’est qu’entre troisièmes, on se soutient toujours, avant chaque épreuve, on peut entendre des “bon courage, bonne chance”, et des fois on préfère se dire “m…”, car pour certains, ça porte une meilleure chance… Et moi, je préfère personnellement quand ce sont mes professeurs qui me le souhaitent, ça fait du bien de l’entendre, venant des pros.

Mais, vous savez la chose horrible qui se passe toujours, à toutes les épreuves, c’est ce fameux stress, qui nous hante (et moi, particulièrement), je ne peux pas m’en empêcher, je suis obligée d’avoir ce stress en moi… Et souvent, ce stress,  y en a même pas besoin.

J’espère beaucoup que nous allons tous avoir de bons résultats et que cela continue ainsi. Et merci, à tous ces “bonnes chances”, lecteurs du Torchon et un grand merci à Mme Dibot.

Il semble que tous les rois de France (à l’exception de Louis XVI) aient eu une, deux, plusieurs maîtresses, lesquelles cohabitaient souvent à Versailles, concubines auprès de l’épouse… François Hollande serait donc, après Nicolas Sarkozy et son divorce puis son remariage en plein mandat,  un homme normal, comme il l’affirmait lors de sa campagne ? Un homme qui, tel les rois, aime en coulisses comme sur scène.

Qu’est-ce que cet article, voyons ? La vie privée du président de la République regarde-t-elle les français ? Cette presse people n’aurait-elle pas gagné à ne pas publier ces photos du président et de sa (supposée) maîtresse et à se concentrer sur un sujet journalistique plus élevé ? (comme nous devrions le faire sur ce Torchon)…

Non, ce qui est amusant, dans la Une de Libération, c’est la réflexion sur le statut de Première Dame : Bonemine, dans Astérix, l’a bien compris, elle : le statut de Première Dame du village lui donne le droit (le privilège) de ne pas faire la queue à la poissonnerie. Un avantage non négligeable, surtout les jours de marché. Sinon, quel intérêt ? Remarquez, connaissez-vous le film Potiche ?  Intéressante image de la “femme de”.

Elisons, peut-être, une femme à la Présidence de la République, et nous aurons un Premier Monsieur de France en coulisses… Ou, remarquez, une première dame de première dame : nous y perdrons notre latin, ne nous mêlons pas de politique… Euh, de commérages… Et puis, passons aux choses sérieuses : l’actualité digne de ce nom.

Quoi que dise notre faussaire en commentaires au sujet du brevet blanc, c’est aujourd’hui le grand jour : le premier brevet blanc de l’année. Comme l’ont écrit Gayan et Marina, cela en fait, des épreuves, pour cette année de troisième… Mais le BB, après tout, qu’est-ce, sinon une répétition générale de l’examen final EN PLUS DUR ? Ah, ce n’est pas moi qui le dis, mais les anciens troisièmes, qui, traditionnellement, s’amusent à répandre cette (fausse car hasardeuse) rumeur…

Ciel, si Anissa lit le Torchon en sirotant une décoction de plantes vertes calmantes aromatisée à la fraise Tagada pour apaiser son légendaire stress, si Lenny tombe sur ces colonnes en pleine absorption de substances  illicites destinées à rendre inoffensive sa part Mister Hyde (vous trouvez naturel, ce flegme à la Lénny, vous ?), si Johanna fait sa revue de presse sans zapper la mienne (Johanna peut mener sa propre revue de presse sans s’attarder sur la mienne : les zélèves dépassent parfois vite le maître !), si Salimatou lit ces mots (Salimatou, elle, respirera un grand coup et mettra simplement la barre plus haut : et elle franchira l’obstacle la tête haute), que vont-ils penser ???? Et si Hugo ouvre le bon oeil (admettons, un cas exceptionnel) ce matin, quelle sera sa réaction ? “Ah bon, il y a un Brevet Blanc ?” Pire : Amandine, réalisant qu’il y a une dictée ce matin, coef 3 :

“QUOI ? Le brevet blanc, plus dur que le vrai brevet ??? Ca va pas, non ? Je reste chez moi ce matin : une dictée plus dure que celle du brevet final, ils croient quand même pas que je vais me lever pour ça ????”

Allons, allons, allons, calmons-nous, regardez Eden, qui a eu la politesse d’être malade vendredi (trois jours de révisions au lieu de deux ;)) et se trouve prête, fin prête pour composer ces deux jours : a-t-elle peur, Eden ? Non, pas plus que Gayan, Messaouda… Théo flambe un peu, mais c’est un garçon, et il n’a pas besoin de retrousser ses manches, elles le sont déjà en permanence : il devrait réussir.

Reste à espérer qu’Hugo n’a pas oublié qu’il y a , aujourd’hui, un Brevet Blanc. Que Lenny mette le bon pied devant l’autre ce matin, que Léo… Non, Léo, c’est certain, il maîtrise toutes ses connaissances, faisons-lui confiance… Que Fany se dise qu’elle doit avoir confiance en elle, et que tous, vous vous laissiez porter par le beau beau beau texte qu’on a choisi pour vous, et le beau beau beau sujet de rédaction qu’on vous a concocté….

Bon courage à toutes et à tous, pas de panique, tous vos aînés sont passés par là, prenez ces épreuves comme des étapes dans votre initiation… Et avec le sourire, s’il vous plaît !

Cher Cassis Masqué,

Deux commentaires signés de ton nom restent ce jour en attente et ne seront pas validés : leur contenu étant ordurier, je devine qu’un plaisantin malveillant a usurpé ton identité pour le rédiger (deux fois, qui plus est). Ou bien avais-tu abusé de substances illicites qui ont réveillé ton côté Mister Hyde, auquel cas, je te déconseille vivement de tenter le diable, ce bon vieux docteur Jekyll te dirait probablement la même chose s’il était de ce monde.

Cet incident me permet de rappeler à chacun (notamment au véritable auteur de ces deux commentaires sur l’article sur le brevet blanc) que :

1) ce blog n’est pas un torchon.

2) chaque élève inscrit en option media doit savoir protéger ses codes d’accès et son adresse électronique

3)  toute personne usurpant l’identité d’une autre pour rédiger lâchement des propos orduriers, quels qu’ils soient, prend le risque  d’être identifié malgré tout et de devoir rendre des comptes auprès de la direction de l’établissement : qui, à part un élève de troisième, aurait commenté l’article sur le brevet blanc ?

L’enquête sera ouverte ce matin, notre Big Administrator Sherlock sur la piste du plaisantin manquant du courage de signer ses opinions. A celui-là, merci de nous épargner sa prose et son orthographe à l’avenir… Quant à vous, mes zélèves, protégez votre identité.

C’est une année de 3eme remplie de stress ! C’est une année de pression avec beaucoup d’épreuves dès le premier trimestre. Pour nous, c’est la dernière année au collège, ce qui nous rend triste, mais d’un autre côté on désire qu’elle s’achève rapidement car il y a beaucoup d’épreuves dont le BREVET.

A peine les stages, ainsi que les oraux (de stage et d’anglais) terminés, dans quatre jours, c’est le premier brevet blanc pour nous….On a tous une grande pression car on a  toujours douté de l’année de troisième, mais voilà qu’on y est !

2 heures de Mathématiques + 3 heures de français + 2 heures d’Histoire-Géographie-Education- Civique et 1 heure d’anglais, ça fait un bon mélange de stress !  Durant toute cette année, nous aurons encore beaucoup d’épreuves avant que tout se termine car n’oublions pas que le brevet est en juin ! Il est  vrai que c’est une année compliquée mais il faut toujours garder le sourire, être confiant, écouter en classe, bien se tenir, donner son maximum car c’est l’année où l’on décide de notre orientation ! Nous souhaitons à tous bon courage pour le brevet blanc et pour toute cette année, bonne chance et restez confiants !

Marina et Gayan.

Etrange ambiance en séance d’option media, hier matin… Où l’on se frotte à l’actualité que, lâchement, osons l’écrire, on aurait volontiers éludée : Dieudonné. Trop lourde, trop polémique, trop délicate actualité à débattre avec des adolescents de troisième qui entrent à peine, à cette époque de l’année, dans l’étude de la Shoah et manquent donc de repères pour comprendre le sens des mots génocide, antisémitisme, antisionisme.

Mardi, ce sont les zélèves de quatrième qui ont ouvert le bal : “M’Dame, on veut parler de l’actualité, on veut parler de la quenelle”. Aïe, j’avais plutôt pensé aborder la chasse au Dasi et les articles au sujet de la semaine à projets en quatrième : raté. Mais ce qu’élève veut… Table ronde, parole libérée : mais en quatrième, sans notion d’Histoire, il est impossible de comprendre la polémique qui naît autour des spectacles de Dieudonné. D’autant plus qu’un de mes zélèves a déjà son billet pour le spectacle de Tours… Le “débat” s’enlise très vite sur un terrain qu’on voudrait quitter : la religion. Où l’on a entendu, tout de même, des adolescents expliquer qu’une des trois religions monothéistes est supérieure aux deux autres, puisque plus récente, donc “plus aboutie, plus riche, plus réussie”. La sonnerie de la fin de séance permet d’esquiver.

On reprend son souffle, son calme, et on entre en cours de troisième pour apprendre qu’en latin (mais comment mes zélèves de troisième ont-ils bien pu aborder le sujet Dieudonné en cours de latin, me direz-vous très justement ?), une discussion animée a eu lieu, que ma collègue me résume entre deux portes, deux sonneries. En substance, j’apprends que mes zélèves auraient bien besoin d’un espace d’expression sur le sujet. L’option media devrait donc, cette semaine, offrir cet espace. Y compris à des zélèves non inscrits, en mal d’expression. Ou est-ce d’explication ?

Hier, adoncques, Vincent, élève de troisième fan de Dieudonné,  rejoint les troupes en option media : courageux, le garçon, motivé : la séance a lieu à 8 heures. (Vincent, tu aurais pu apporter les croissants, soit dit en passant). Où l’on apprend que, la veille, le débat a eu lieu en cours d’Histoire et que mon cher collègue, surpris par certains propos d’élèves, a haussé le ton et, toutes affaires cessantes, fait le point sur l’antisémitisme. Invité à se joindre à l’équipe du Torchon hier matin, mon cher collègue n’a pas hésité, lui non plus, à se lever plus tôt (mais a également oublié de nous apporter des croissants…).

Mais allez débattre sereinement avec des adolescents de quinze ans, en respectant l’interdiction de livrer votre propre opinion sur le sujet, en vous contentant d’exposer les notions républicaines, de rappeler la loi et sans vous énerver de propos indiscutablement énervants… au sens premier du terme… Difficile exercice de style auquel, M. Aimé et moi-même nous sommes soumis hier matin. Face à deux attitudes d’élèves : ceux qui, en attente d’information, d’éclairage historique, écoutent, questionnent, comprennent. Et ceux qui, campant sur leur position première, brandissent l’unique argument de l’innocence du sieur Dieudonné, victime du système qui le prive de faire rire.

Et je doute qu’on en reste là ce matin, dans quelques heures, nous redescendons dans l’arène…

Chers zélèves, observez le titre et le chapeau de cette Une. La rédaction de Libération ose le nom “haine”,  l’adjectif “antisémite”, et place le nom “humoriste” entre guillemets. Intéressant. A mettre en relation avec cet extrait d’un article de Scheiderman sur Mediapart, qui réfléchit, justement, à la façon dont les journalistes devaient nommer et caractériser Dieudonné.

 Le substantif posé, se pose dans la foulée la question du choix de l’adjectif, avec deux écoles : antisioniste, ou antisémite ? Pas la peine de rappeler l’importance de la distinction. Si l’on ne souhaite pas trancher, on peut toujours s’en sortir par un « controversé », qui ne mange pas de pain, mais ne veut strictement rien dire. Qui sur cette terre n’est pas « controversé » ? Je suis, vous êtes controversés.

Choisir, donc. Se mouiller. Notre dossier en fait foi, dans les premières plongées dans le phénomène, nous avons opté pour un prudent « antisioniste » entre guillemets, manière de ne pas trop, justement, se mouiller, et de suggérer : « Voilà comment il se désigne lui-même, mais nous ne sommes pas dupes. » Plus nous progressons dans l’exploration susmentionnée, plus il nous semble tout de même qu’un vigoureux « antisémite », franc et massif, et sans aucun guillemet, n’est pas immérité.

La xbox one est sortie le 22 Novembre, alors que 29 novembre, c’était la grande heure de la ps4. Nous allons tenter de les départager.

Présentation :

La xbox one : Elle a une fonction vocale qui permet d’allumer la console avec le “kinect 2.0”, ou d’utiliser votre smartphone, votre tablette ou votre pc portable toujours pour la même utilité (comme sur la xbox 360). Niveau jeu, pareil que pour son adversaire, les jeux d’ancienne génération ne marcheront pas.

Son prix est de 499€

La ps4 : légèrement plus puissante, elle montre aussi une grande amélioration graphique tout comme la xbox one. Avec sa toute nouvelle manette équipée d’un écran tactile et une meilleure mise en main que celle de ps3, la next-gen gagne un bon point. Equipée aussi du playstation eyes, copie du kinect en moins performant, elle reperd son bon point. Comme sur la xbox one, les jeux de ps3 ne marcheront pas La console est aussi moins lourde que sa consœur, et donc moins encombrante à transporter.

Son prix est de 399€

Bref, du niveau graphique, et vous l’aurez compris, les deux consoles sont presque pareilles. Pour le côté puissance, c’est la ps4 qui l’emporte, de peu. Chose un peu plus gênante, cependant, un zéro pointé pour les deux consoles, les jeux des anciennes générations ne marcheront pas sur next-gen… Les deux consoles sortent chacune des jeux exclusifs, qui n’ont pas fait trop d’effets aux joueurs.

Revenons-on au combat : pour ce qui est du prix, la ps4 gagne largement de 100€, et au bout d’une semaine, les joueurs ont donné leurs avis, la ps4 est la vainqueur, avec le record du plus grand nombre de lancement (plus de 2,1 millions d’exemplaires vendus).

Voilà, maintenant à vous de faire votre choix : prendrez-vous la ps4, la xbox one, ou aucune des deux ? C’est à vous de choisir.

article de Monin Hugo et Brun Léo

need for speed : rivals est un jeu de courses de rue, tout comme ses prédécesseurs, qui se déroule à Redview County, un endroit situé dans un désert, composé de montagnes enneigées, de forêts, et de plages.

• dans ce jeu, vous incarnez un pilote avide de vitesse : Zéphyr, qui est prêt à tout pour s’enfuir, ou son rival, un flic prêt à tout pour arrêter les pilotes : F8 (ou Feight). Vous pouvez interchanger à tout moment votre côté (flic ou pilote).

• Le jeu a été développé par Ghost game et Criterion game et a été édité par Electronic Arts. C’est le 20ème opus de la série, sorti sur ps3, ps4, xbox one et xbox 360. Le système graphique met en marche les effets de la météo, ce qui rend le jeu plus réaliste et plus prenant (exemple : feuilles qui volent partout sur l’écran lors d’une tempête).

• L’autre nouveauté, c’est le fait que la ligne entre le mode “online” et le mode aventure ait été coupé : vous jouez tout le temps en “online”, mais rassurez-vous, si vous êtes solitaire, ou voulez jouer seul avec vos amis, il y a un mode “partie privée”, comme dans tout jeu “online”.

• Une dernière nouveauté, c’est OverWatch : un site internet dans lequel on se connecte avec notre compte EA (indispensable pour jouer en ligne sur le jeu) et là se trouvent des mini-jeux, votre profil, vous pouvez changer votre image de profil, ou encore, et c’est le plus intéressant, choisir d’aider, ou de gêner un joueur de votre choix, simplement en cliquant sur lui.

Voilà, on espère que cela vous aura aidé à faire votre choix, et si vous le prenez ou l’avez déjà, bon jeu !

article de Monin Hugo et de Brun Léo

A toutes et à tous, lecteurs  occasionnels ou réguliers, commentateurs connus ou inconnus, contributeurs, zélés ou un peu moins,  et zélèves de cette année et des précédentes, membres de la grande communauté internationale du Torchon, présents dès le début de l’aventure ou fraichement arrivés, je souhaite une très bonne année.

Année de réussite scolaires, laquelle sera le fruit de vos efforts réguliers, année d’épanouissement intellectuel, lequel sera le résultat de votre curiosité, année en bonne santé, laquelle résultera de votre prudence lors de vos cours de sport et activités dangereuses de même nature (rugby par exemple…) et du refus de découvrir de nouvelles substances (je ne vise personne).

En tout état de cause, il en sera de cette année comme des précédentes, elle sera ce que vous en ferez et elle sera heureuse si vous choisissez de l’être, au milieu des soucis que vous ne manquerez pas d’avoir, personne n’y échappe. C’est alors que vous saurez trouver la lumière d’une main tendue, et découvrirez que le seul trésor qui mérite d’être possédé, au delà de ce que toutes les chaines de télévision peuvent vous vendre, c’est l’amitié.