Un jour, on trouve un garçon, on pensse toujours que c’est le bon, seulement lorsqu’on ne s’y attend pas, on découvre qu’il se moque ou rigole de nous. Au fond, nous, les filles différentes, pas <> comme ils disent, on joue toujours les bonnes copines et lorsqu’on découvre que, finalement, c’est pas nous mais elles qu’ils choisissent, au fond, ça fait mal mais on ne dit rien parce qu’on a peur de perdre une amie ou de se ridiculiser.

Alors on s’efforce d’etre heureuse pour eux en attendant que le temps passe et que nos sentiments s’effacent. Malgré ça, les peines d’amour, c’est dur à vivre. Mais le plus dure, c’est de le laisser s’envoler alors qu’ au fond, tu sais que c’est elle qu’il va aimer.

Mégane*

Pour les physiciens, tout cela n’est qu’une affaire de liquéfaction. En revanche, pour les censeurs ou les politiciens, les moralistes et les gardiens du temple, ce mot résonne avec de terribels accents apocalyptiques.

La déliquescence de la société, corollaire de celle des moeurs, ne peut que préfigurer de tristeslendemains ou expliquer l’effrayant aujourd’hui. Ce qui est amusant, pour les historiens, c’est de noter que les tablettes d’argile d’il y a 4000 ans, que les textes grecs d’ils y a 2500 ans, que Charlemagne, que le duc de Saint Simon, que de sympathiques vieillards contemporains, ne cessent de mettre en avant cette déliquescence de la société et des moeurs, c’est-à-dire cette décadence complète et cette perte de repères et de valeurs de notre société. Là où la chose vous concernent, chers zélèves, c’est que les jeunes sont, à toutes les époques, les artisans de cette situation où se retrouvent toujours les mêmes critiques, lesquelles s’accordent sur un point ” les jeunes ne respectent plus rien et ne respectent plus les anciens”.

En ce cas, à force d’entendre que “avant c’était mieux”, on en vient à bâtir le mythe de l’âge d’or. Plus encore, si ce triste constat s’établit de génération en génération, cela ne s’expliquerait-il pas par le fait qu’un jour, on ne peut que leur souhaiter, les jeunes deviennent vieux et aspirent à bénéficier d’un peu de respect, de considération, oubliant, comme le disait si bien le Petit Prince, que “toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants mais que très peu d’entre elles s’en souviennent”, finissant ainsi par reprocher à ceux qui sont jeunes, l’attitude qu’eux-mêmes avaient, un demi siècle avant. Cruel jeu de la mémoire.

Au départ, il te demande en amie sur facebook, tu l’acceptes, tu commences à faire connaissance avec lui, il te donne un rendez vous dans un parc vers chez toi.

Tu vas au rendez vous, tu commence à stresser car il n’est pas encore arrivé, 5 minutes après, tu le vois arriver au loin : tout de suite, t’as eu le coup de foudre. On commence à discuter de tout et de rien, tu le trouves très sympas, tu lui donnes ton numéro de téléphone. Il est l’heure de rentrer chez toi, tu lui dit au revoir et tu t’en vas.

A peine partie, tu reçois un message de lui, disant ” Je t’ai trouvée très jolie et je commence à t’aimer vraiment beaucoup”, tu ne sais pas quoi lui répondre car ce qu’il pense de toi, c’est réciproque pour lui. Les jours passent, il te manque beaucoup, tu es pressée d’avoir un second rendez-vous, enfin tu le revois, il t’avoue ses sentiments, tu lui avoues aussi, tu commence à l’enbrasser, tout te paraissait si parfait.

La nuit commenca à tomber et c’etait l’heure pour toi de rentrer. Tu pensais à lui, tu rêvais de lui, tu n’aimais que lui, c’était l’homme idéal. Le temps passe, l’amour est là, tu le vois souvent, mais pas assez pour toi.

Et puis, il ne t’envoie plus de messages, il ne t’apelle plus, il ne te dit plus vraiment “je t’aime”, tu te demandes ce qui se passe. Un jour, tu finis à 3 heures et tu décides d’aller en ville. Tu le vois dans les bras d’une autre fille, et là, tu te dis que tout est finit, tu vois le monde s’ecrouler autour de toi.Tu adorais les mots doux qu’il te disait mais maintenant c’est terminé, tu te sens mal, tu ne réponds plus à ses messages car, après se qui vient de se passer, tu n’as pas vraiment envie de le voir, de lui parler, tu n’attends plus qu’une chose : l’oublier.

Ne croyez jamais les garçons qui vous disent  ”t’est ma femme pour toujours” ! Ne rêvez pas, il parlait anglais ”t’est ma femme pour two jours”…  Les garçons veulent juste se faire le plus de filles possible, ils s’en fichent des sentiments que les filles rensentent pour eux..

LES GARCONS SONT TOUS DES MYTHOMANS …. A PART MON PERE

Fatoumata,Océane

On dit souvent ” ma mère, c’est la meilleure”, mais, pourtant, toute mère a  un coeur et veut le bohneur de son enfant.

Elle m’a portée 9 mois dans son ventre : 9 mois de douleur, aprés 9 mois d’attente il ya eu enfin le bohneur. Elle m’a fait découvrir la vie par des milliers de couleurs, sans elle, je perdrais goût à la vie.

On se plaind souvent sans s’imaginer que d’autres n’ont pas de maman, et si je prie le bon Dieu jour et nuit, c’est de la garder à tout prix. Parfois j’imagine de ne plus dire le mot “maman”, ne plus sentir l’odeur de ces plats…

Mais il ne faut pas penser qu’au pire mais au meilleur. Inshallah, elle seras toujours là. Je remercie le BON DIEU d’avoir une chance extraordinnaire d’avoir une mère comme elle : hemdoulileh.

Amira, Aminata, Imene.

Il était une fois une Jolie Princesse

Qui était dans une grande détresse :

Elle cherchait son Grand Amour

Le seul, le vrai, l’Unik’ et pour toujours …

Un jour, par le plus grand des hasards,

Elle rencontra la Perle Rare !

Elle était Folle amoureuse

Et tellement Heureuse …

Mais un tel bonheur ne dure qu’un temps,

Malheureusement.

Elle le surprit avec une Inconnue…

Et fut énormément déçue :

Son coeur se déchira

Et tout son monde s’écroula.

Aujourd’hui,

La Princesse est guérie

Toujours à la recherche du Prince Charmant

Qui est malheuresement Inéxistant !!

 LaTitePoète

Ce week-end, 288 athlètes répartis en 32 équipes disputeront le Tour de la Vienne. Une épreuve devenue incontournable dans le département.  Samedi et dimanche prochains, 288 coureurs éparpillés au sein de 32 équipes parcourront chemins et routes escarpés du département de jour comme de nuit.

Un parcours de 250 km

Près de 250 km attendent les engagés pour cette 22 ème édition.  Seize épreuves sont proposées aux concurrents dont un prologue, un contre-la-montre, une épreuve nature, des run and bike. Ce tour pédestre partira du parc Pontreau à Lencloître samedi dès 8 h 30. Ensuite, il rejoindra Beaumont, avant de traverser Bonneuil-Matours, La Puye, Saint-Savin, La Chapelle-Viviers, Persac.

Les participants seront choyés et auront le droit à une seule pause de deux heures dans le week-end. Un traiteur leur proposera un repas avant de reprendre l’aventure lors des étapes du soir. Ils rallieront alors Celle-L’Evescault en traversant la forêt de Saint-Savin.
Le dimanche matin, les coureurs se mesureront à un contre-la-montre avant de rallier Marçay, Vouneuil-sous-Biard, Vouillé, Chabournay et enfin Lencloître. L’arrivée se fera à la salle multimédia de Lencloitre
Un programme qui ne sera pas de tout repos notamment pour la sécurité et l’organisation. Elles seront assurées grâce aux 90 bénévoles. Six voitures ont été réquisitionnées pour accompagner les coureurs au cours de leur périple. Du côté sportif, le Triathlon Club de Châtellerault, vainqueur de la précédente édition, ne remettra pas son titre en jeu.  Les grands clubs du département ont inscrit des équipes. Le PEC, le CA pictave entre autre.

Je trouve que cette course est très bien. Cela permet au coureur de voir des nouveaux paysages tout en faisant ce qu’ils aiment bien faire, c’est-à-dire courir.

Manon.

En lien sur ce blog, pour vous, chers zélèves, un blog conçu par des jeunes pour expliquer aux jeunes que vous êtes comment analyser, comprendre, décrypter, les étapes de la campagne présidentielle. Je vous l’ai dit, cette année sera riche en éducation à la citoyenneté : encore faut-il savoir ouvrir l’oeil !

Le lien en question s’intitule “Election et jeunes citoyens” : http://blog.letudiant.fr/les-jeunes-bloguent-la-presidentielle-2012/2011/09/27/les-affaires-reprennent/

… Nous l’avons rencontrée dans les rangs des manifestants, hier, à Poitiers. Marianne, comme vous le savez, c’est le symbole de la République. Vous connaissez le tableau de Delacroix, La liberté guidant le peuple ? Cette photo, pillée dans la NR (mais dont la diffusion est autorisée par le modèle, que l’on connaît), est intéressante car on y lit l’intention de la photographe d’évoquer ce tableau de Delacroix… Ou bien c’est le hasard qui s’en est mêlé, et le résultat est un bel hommage à l’idée de République : c’était bien le thème du rassemblement d’hier, défendre l’école de la République. Voici un nouvel exemple de ce que peut être une photo de presse réussie.

Chers zélèves, cette page est pour vous.

Nostalgie d'une époque où l'on manquait de ce sérieux qui nous colle aujourd'hui à la peau..

Un peu de nostalgie ce matin, pour votre professeur : la rédaction du commentaire sur l’article de Technovore (quel drôle de pseudo !) m’a amenée à relire quelques articles rédigés par une ancienne classe journalisme de George Sand, la rédaction du journal Best’Of… Nostalgie : c’était l’année où, à Ozon, les tours tombaient.. l’année de la visite de Nicolas Sarkozy, qui avait fait couler de l’encre… L’année des grandes soeurs : celle d’Amira, celle d’Aminata : les grandes soeurs ont montré la voie, la relève est assurée grâce aux petites ! Une année faste, une année rude aussi : George Sand à l’époque où le collège était plus dur qu’aujourd’hui (nous ne nous plaindrons pas que cette ère soit achevée !).

Pour celles et ceux qui le voudraient, les liens vers le blog de cette ancienne classe journalisme, ainsi que les deux blogs Pink Paillettes : en lien ici… Parce que, sans ces générations d’anciens zélèves journalistes à George Sand, jamais le Torchon n’aurait vu le jour…