Nov
18
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 18-11-2011

Au pluriel kibboutzim!

Un mot que j’aime en raison de sa sonorité, tout simplement. Pour le reste, c’est le nom des fermes collectives qui existent en Israël; alors, fatalement, c’est assez délicat à placer dans une conversation, mais je vous assure qu’on y parvient! Les premiers datent du début du XXème siècle, ensuite, les activités industrielles se sont greffées dessus et les kibboutzim évoluèrent donc. Notons seulement que ces structures qui démontraient une très forte implication dans le mouvement sioniste sont, depuis les années 1970 en déclin. Mieux vaut cesser ici afin de ne pas trop politiser ce Torchon, finalement, j’aurais dû évoquer le théâtre japonais, cela commence aussi par K, je vous laisse chercher, un carambar à qui trouve!

Nov
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Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Océane miss Glamour. le 18-11-2011

Vendredi, avec certains élèves de George Sand, nous avons rendu hommage aux morts de la guerre. Il y a avait beaucoup de monde, Monsieur le  maire, Mme le  sous-prefet, Monsieur Joseph et encore beaucoup d’autres personnes. Tout d’abord, nous sommes allés à la gendarmerie, on a vu les porte-drapeaux, Mme le sous-préfet, le maire et Mr Joseph étaient placés devant une statue, les porte-drapeaux ont baissé le drapeau et le maire, la sous-prefet et Jacki Joseph ont fait une minute de silence pour rendre hommage aux nombreux morts durant cette guerre de 1918.

 Imène et Fanta ont porté une gerbe qu’elles ont mises devant une statue. Puis nous sommes partis au cimetière Saint Jacques. Là où Sara et Fatoumata ont hissé le drapeau tricolore. Puis, encore une minute de silence, les drapeaux baissés. Après, nous somme repartis au parc des chèvres, là où il y a la statue de la Marianne. Mme le sous-prefet a lu un discour du président de la république qui était écrit par Nicolas Sarkozy. Puis, moi, Océane Pertois, et ma camarade Alyssia, nous avons porté une gerbe sous le drapeau français devant la statue de la Mariane. Il ne faut jamais oublier cette date importante pour la France. Vive la république, vive la France. Hommage à tout ceux qui sont morts.

Nov
18
Classé dans (Pink Paillettes) par Stella le 18-11-2011

Depuis bientôt 10 ans, ma drogue, c’est la danse. Sans elle, je ne serais pas la même, je serais différente d’aujourd’hui.

Cela a commencé, à l’âge de 4 ans. Ma mère m’a demandé si je voulais faire une activité extra-scolaire. Je lui ai repondu que j’aimerais faire de la danse. Donc, ma mère m’a enmenée voir un cours de danse classique. Quelle horreur!!! Je ne me voyais vraiment pas avec un justaucorps et des chaussons roses. Un peu plus tard, elle m’a enmenée voir un cours de modern-jazz. Quand je suis arrivée, je me suis mise dans un coin, à regarder. Cela me semblait trop difficile pour que j’y arrive. Donc, je suis restée assise dans mon coin ; mais j’aimerais tellement ça, que je suis revenue la semaine suivante, puis l’autre, puis encore, et tous les mercredis jusqu’à maintenant.

Quatre ans plus tard, j’ai découvert les claquettes. J’y suis accro maintenant. Quand les gens me demandent si je fais du sport, et que je leur réponds que je fais de la danse, les gens sont surpris, car je n’ai pas un physique de danseuse. Moi, je pense que tout le monde peut danser, que l’on soit : grande, petite, mince, grosse, moche, belle,.. Ce n’est pas ça qui compte ! C’est ce que l’on ressent en touchant le parquet de la salle à chaque pas de danse.

Depuis que je fais de la danse, je me découvre peu à peu, et m’apprécie. Plus tard, j’ai découvert une autre passion grâce à un autre type de danse : la danse en couple (autrement dit, de salon). Je ressens plus de confiance en moi même, car en étant cavalier, ma partenaire se base sur mes pas pour danser. Je dois donc avoir confiance en moi pour qu’elle ait confiance elle même en moi.

Il y a 3 ans, j’ai appris que j’avais un problème au genou, ce qui m’empêche de faire beaucoup de choses… Quand le médecin m’a dit cela, j’ai tout de suite demandé si je pouvais encore danser. Il a attendu un moment avant de me dire qu’il valait mieux que je limite la danse. Je me suis éffondrée en larmes. Je me demandais comment j’allais faire, je cherchais une solution, en vain. Quelque temps plus tard, je suis retournée voir le médecin, il m’a proposé de porter une genouillère, pour pouvoir continuer à danser ! J’ai accepté. Depuis je continue de danser, et je suis fière de dire haut et fort, “Eh oui, JE FAIS DE LA DANSE!” 

Stella.

Le jeudi 10 novembre nous avons eu la chance d’assister à une conférence de presse animée par deux grands reporters (Lucas Menget, grand reporter à Envoyé Spécial sur France2, et Mathieu Laurent, grand reporter pour Radio France) qui nous ont parlé de leur métier.

” Reporter n’est pas un métier, c’est une façon de vivre “.

Grand reporter, c’est à la fois un titre, et une notion, selon eux. Quand on est reporter, on voyage beaucoup et longtemps. On peut couvrir des sugets très importants et en vogue, et  des fois beaucoup moins, mais cela reste tout autant enrichissant. On peut parler dans ses articles de la guerre, ou parfois simplement des résultats d’un dernier scrutin. Quand ils sont ailleurs, ils travaillent hors de toute information, comme coupés du monde. Ils sont parfois seuls, ou en petit groupe. Dans des pays où le français n’est pas courant, des fixeurs et interprètes sont là pour faciliter les échanges.

Il faut certaines qualités pour pratiquer ce métier à risques, comme posséder une curiosité permanente, être discret, débrouillard, persévérant et avoir de l’humilité. Il faut être présent, mais distant dans sa tête à la fois. Un reportage peut durer jusqu’à plusieurs semaines. Un suget envoyé de Kaboul par exemple, qui dure simplement une minute trente, coûte entre 5 et 10 mille euros pour la télévision.

Egalement, le métier se féminise grandement, dans tous les domaines des média. Cela a rendu le métier moins matchiste, et a permis d’ouvrir de nouveaux horizons. Cela peut peut permettre, par exemple,  d’entrer dans des maisons avec une femme dans des pays en d’Orient. En faisant ce métier, on peut avoir peur pour sa survie, et bien sur, on ne sort pas indemne, psychologiquement du moins, de tout ça. On voit de tout au quotidien, mais il faut passer outre. ” La peur devient à force une amie”, confie Mathieu Laurent. Quand ils sont dans des pays étrangers, la barrière de la langue peut déranger, et la frustration est grande. Peur de manquer d’informations, de ne pas être bon, des questions qu’ils se posent vraiment souvent. Mais quand ils réfléchissent, il est assez grisant et marquant de vivre des moments en direct, qui vont grandement marquer l’Histoire. “C’est simplement incroyable d’être payé pour exercer sa passion” dit Lucas Menget.

L’énorme problème de cette vie de cavale, c’est bien sûr la vie de famille compliquée. Rester loin de ses proches est vraiment très dur.  On rate des évenements importants, naissances, mariages d’amis, et d’autres choses, mais cela fait partie des difficultés du métier. Mais au moins, on n’entre pas dans un cycle de monotonie ! Ce qui est bien, c’est que, quand ils restent longtemps en France, parce qu’ils ne sont appelés nulel part, une souplesse horaire importante s’installe.  Il y a aussi des régles : ils ne diffusent rien si cela peut mettre en danger des personnes, et il faut tout faire pour ne pas mettre en danger les gens qui les ont aidés à survivre sur certains territoires. Informer à  tout prix n’est pas leur but. Pour exercer ce métier, on peut être formé sur le tas, ou bien faire un parcours classique, c’est-à-dire les écoles de journalisme (13 sont reconnues) qui se font en deux ans. Soit 3 ans après le bac, soit plus tard, il peut être important d’avoir une autre formation que le journalisme. Personnellement, j’ai appris que c’était un métier vraiment complexe,  mais qui a de nombreux avantages.

Océane L.

Nov
18
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Technovore le 18-11-2011

Salutations, amis terriens.

Il ya près d’une semaine, je suis allée avaec le reste de la classe média au Théatre Auditorium de Poitiers où on a simulé une émission de radio sur France Info (génialoïde !).

 Tout de suite,  les groupes se sont faits, je suis avec Mme Dibot (chouette !). C’est à nous de passer à l’antênne ! Je me colle à la régie en espérant ne pas avoir à parler dans un micro mais on dirait que je me suis attaquée au plus gros morceau (les boutons qui clignotent, ils servent à quoi ? Et l’appareil bizzare là, kézako? La machine à café ?!).

Bref, il me faut quatre essais avant de lancer les jingles et ouvrir les bons micros correctement. Pendant ce temps, l’autre groupe (avec M. Mastorgio) regarde et donne leus avis sur une exposition de dessins de presse. La journée est restée super et l’experience est gravée dans ma mémoire d’Eurasienne !

Technovore

(note pour M. Mastorgio : kézako veut dire qu’est-ce que c’est)

Ambiance solenelle. Je m’installe dans l’amphithéatre. Deux journalistes professionels entrent et siegent à coté du président du conseil général de la vienne (wo-ah….*o*).

Après quelques minutes à observer le micro devant moi, je plonge dans le récit de Mathieu et Lucas. Je m’imagine à leur place.  J’abandonne ma famille pour le scoop de l’année : Kadhafi est sur le point d’être renversé. Je prends l’avion. Là-bas, je me fais passer pour un touriste français pour éviter que l’on ne me prenne pour un informateur au profit du président de ma république. Une famille m’héberge, ils sont gentils et savent très bien qui je suis. Je partage des repas avec eux. Mais je sais très bien le risque qu’ils prennent en m’acceptant sous leur toit. Leur père se propose d’être mon guide.

Le lendemain, il est deux heures du matin, j’interview quelques rebelles en évitant les balles des armes qui fusent. Soudain, une grenade dégoupillée atterrit juste à nos pieds. Mon guide la reprend et la jette par dessus le muret qui nous protège.  Le bruit sourd de l’explosion me fait sursauter.

J’ai assez de témoignages, il est temp de rentrer ! Je téléphone aux rédacteurs en chef et une heure plus tard, je suis dans l’avion !

Malgré cette mésaventure, je suis contente d’avoir rencontré cette famille de rebelles qui m’ont accompagnée. Ils m’ont hébergée malgré les risques de prison à perpetuité ou de pendaison. Je me réveille soudainement en repensant au micro et à l’assemblée. Lucas et Mathieu se lèvent sous les applaudissements des élèves de Descartes, de George Sand et d’un collège de Saint-Savin.

Être reporter sur le térrain est un vrai défi mais lorsque le journal sort ou est diffusé, on sait que ce métier n’en est pas un, mais une passion. L’adrénaline est constante et la satisfaction aussi.

Technovore

Nov
18
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Technovore le 18-11-2011

Bonjour, arrivée sur ma planette (qui n’est pas située à la même adresse que mon domicile…ahem) j’ai tout de suite visionné le film Intouchables.

C’est une histoire d’amitié entre un homme du “ghetto” et un homme (plutot riche) parallysé de la tête jusqu’au cou à cause d’un accident de parapente. Le premier personage, Drys, (joué par Omar Sy) est un auxiliaire de vie pas trop qualifié qui très vite deviens drôle. Une comédie familiale très attachante, inspirée d’une histoire vraie !

Technovore