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Classé dans (Je suis Charlie) par Agnès Dibot le 12-11-2015

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Article écrit par Stecy (4ème option media)

Il était une fois une jeune fille qui ne disait jamais non. Un jour, à la sortie du collège, deux adolescentes lui dirent :

“Eh, toi, t’as pas une clope ?”

La jeune fille dit non. Elles la giflèrent de tout leur cœur. Le lendemain, la même chose se produisit, sauf qu’elles étaient quatre. Elles lui dirent :

“T’as pas une clope ?”

“Non.”

Alors, elles la jetèrent au sol, la giflèrent, l’injurièrent, la traitèrent avec des mots désagréables, puis la prirent par le bras et l’enfermèrent pendant trois heures dans une cave. Pendant un moment, la jeune fille se dit qu’elle allait mourir. Enfin, elles la relâchèrent. La jeune victime de harcèlement n’osait pas renter chez elle.

Ses parents, inquiets, prévinrent la police. Pendant une journée, ils s’inquiétèrent. Ce soir-là, on la retrouva morte au bord d’un lac : elle s’était suicidée, elle avait du sang sur ses bras. La police a pensé qu’elle s’était coupé les veines.

Les quatre adolescentes ont été condamnées à quatre ans de mise à l’épreuve. Les parents de la victime déclarèrent que cela ne ferait pas revenir leur fille.

Cette fille était ma meilleure copine, je la connaissais depuis que j’étais tout petite. Je l’ai vue se faire harceler, mais je n’ai rien dit. Je regrette ce malheur et me dis que cela est peut-être de ma faute. Et je m’en voudrai toute ma vie, je ne sais pas comment le dire, comment l’expliquer.

Certains mots peuvent être douloureux, certains encore plus. Ne faites rien qui pourrait blesser une personne, mais expliquez-vous calmement.

Quand on parle de harcèlement scolaire, on doit distinguer violence physique dans la cours ‘bagarres) et violences (physique et/ou verbale) répétées : les zélèves ont tendance à confondre.

Réactions au sein du groupe media de 4ème : “Les petits, ils sont graves, ils forment des gangs et ils viennent nous taper, et nous, on a interdiction d’aller les taper dans leur cour parce que c’est nous qui nous faisons punir !”

On rappelle la charte de civilité : les zélèves ont un droit de parole collective : les délégués, qui représentent la classe, ou un niveau de classe, ont toute légitimité pour aller dire à la CPE que les sixièmes se montrent violents envers leurs aînés.

“Les caméras de vidéo-surveillance, elles servent à quoi, alors, M’Sieur ?”

” Les petits, ils nous font des doigts d’honneur…”

“Ils nous insultent.”

Conclusion : balayons devant notre porte : n’avons-nous jamais fait la même chose ? Petits, les sixièmes sortent de cm2, ils n’ont pas encore évolué, ils jouent encore au loup !” Espérons, en ce cas, que cette violence leur passera…

Nov
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Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 12-11-2015

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La parabole des porcs-épics et la sociabilité

« Par une froide journée d’hiver un troupeau de porcs-épics s’était mis en groupe serré pour se garantir mutuellement contre la gelée par leur propre chaleur. Mais tout aussitôt ils ressentirent les atteintes de leurs piquants, ce qui les fit s’écarter les uns des autres. Quand le besoin de se réchauffer les eut rapprochés de nouveau, le même inconvénient se renouvela, de sorte qu’ils étaient ballottés de çà et de là entre les deux maux jusqu’à ce qu’ils eussent fini par trouver une distance moyenne qui leur rendît la situation supportable.”

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Nov
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Classé dans (Musique) par jaime le 12-11-2015

Ecrit par Aloïs.

Quelles sont les chansons de votre MP3 ? MPokora ? Shy’m ? Louane ? Maitre Gims ? Certaines personnes sont beaucoup plus originales !

Connaissez-vous les “Vocaloids” ?

Les Vocaloids sont très populaires, dans la J-Pop (musique japonaise) surtout. Vocaloid est un logiciel qui permet de synthétiser la voix, de la rendre robotique. Suite à la mise en vente de ce logiciel par Yamaha, plusieurs “générations” de chanteurs à la voix synthétique ont vu lejour. La plus célèbre est Hatsune Miku. 16 ans, les cheveux bleus tombant aux chevilles, une voix extrêmement robotisée… Il faut aimer ! La “chanson” la plus vue sur YouTube est “World Is Mine”.

Cependant, on ne comprend pas les paroles. Et si on aime les chansons à texte ?

Il existe quelques compositeurs qui écrivent des chansons véhiculant un message. “Lost One’s Weeping”, chantée par Kagamine Rin, et composée par Neru (Pseudonyme inspiré de Nehru, ami de Gandhi) , qui dénonce le système scolaire japonais (très dur et élitiste) (la chanson: https://www.youtube.com/watch?v=O0TtDeDiHcE )

Une autre chanson à texte ?

Ame to Kusari, chantée par Megurine Luka, composée par Otetsu. Une jeune fille, battue par son petit ami, est confrontée à un ami qui lui pose des questions sur ses bandages. Elle a peur qu’il la frappe, alors qu’il veut juste l’aider. Ce garçon a lui aussi eu des problèmes, et cette jeune fille l’a aidé auparavant. C’est une jolie chanson (bien que triste). La voix de Megurine Luka n’est pas trop robotisée comme celles d’Hatsune Miku ou Kagamine Rin. (la chanson: https://www.youtube.com/watch?v=VXSQ-vd6UII )

Et si on veut les chanter ?

Malheureusement, si on ne parle pas japonais, c’est difficile. Il existe les “Romaji” (karaoké phonétique), mais ces chansons sont rapides, et suivre le rythme est périlleux.

Il existe une web radio, Vocaloid Radio (ou Miku radio), où les chansons sont diffusées. Si on aime ce genre de musique, l’écouter est agréable.

Nov
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Article écrit par un(e) élève souhaitant rester anonyme.

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http://www.europe1.fr/societe/harcelement-scolaire-une-mere-raconte-le-calvaire-de-sa-fille-2358103

Certaines personnes le subissent, d’autres pas et ne savent pas ce que ressentent les victimes. Certaines histoires sont choquantes. Quelques jeunes en sont victimes et en arrivent au suicide. Il faut juste un croche-patte ou une petite tape derrière la tête pour se dire que le harcèlement débute. jusqu’au moment où la victime se retourne contre son bourreau : le harcèlement est puni par la loi.

Moi, j’ai été victime de harcèlement moral : on me traitait d’handicapée, de nulle, et d’autres choses désagréables. Ne rien dire : non ! Ne rien faire : non ! Le dire : oui. Finies, les insultes, finis les mots douloureux et le harcèlement. Ne vous laissez pas faire, moi, j’en ai subi les conséquences. Attention, ce n’est pas une blague…