Mai
31
Classé dans (Non classé) par La blonde le 31-05-2011

Les parents, c’est ce qu’il y a de plus cher au monde. Souvent, on se dit “Ah, làlà, ils m’énervent” ou autres de ce genre, mais que serions-nous sans eux, en réalité ?

La réponse est simple : nous ne serions rien. C’est grâce à eux que nous faisons partie de ce monde, on leur doit beaucoup.

Les voir ensemble, heureux, sourire, rigoler nous fait toujours plaisir, mais quand l’un d’eux va mal, c’est nous aussi, les enfants, qui allons mal.

Le pire, c’est de voir l’un d’eux s’éteindre. C’est ce qu’il y a de plus horrible. La mort d’un des parents, c’est terrible.

Voir ta mère souffrir, pleurer, déprimer, fait mal au coeur. Ca te donne l’envie de ne plus rien faire du tout, on se renferme souvent sur soi-même, dans un coin, le coeur déchiré, voulant à tout prix le revoir pour pouvoir se confier, lui parler, rigoler, sentir son odeur, voir sa bonne humeur… Même si ce n’est que quelques secondes, on ferait tout pour ceci, on échangerait même tout l’or du monde. Car c’est bien plus important à nos yeux.

Ce manque au quotidien que personne ne peut compléter, l’absence de sa présence lors des anniversaires, des fêtes, des repas ou autres, fait mal : on aimerait tellement qu’il puisse partager ceci avec nous.

T’ES PARTI TROP TÔT !!!!!

Tu ne m’as pas vue assez grandir, moi et les autres, que tu n’es plus là. Tu n’as même pas eu le temps de voir tes enfants se marier, être en couple, tes petits enfants. T’es parti trop tôt. On n’a pas eu le temps de se connaitre assez que tu nous as déjà quittés. Heureusement que la mère est là pour nous. Elle essaye de faire de son mieux malgré la souffrance, elle fait tout pour que ses enfants soient heureux. Comme elle dit : “Je sais que je ne pourrai jamais le remplacer, mais je suis là pour vous.”

Je la remercie tellement d’être là pour moi, sinon, je n’y arriverais pas. Les amis sont là pour remonter le moral lors des coups de blues. Le petit copain aussi est là, mais bon, rien n’y fait, on ne peut pas oublier et on n’oubliera jamais. On a ces images en tête, des souvenirs qui font pleurer.

Ce serait long, arrêtons-nous là.

Mais vos parents, c’est ce qu’il y a de plus cher, alors  profitez-en du moment qu’ils sont vivants. Car quand l’un deux part, le vide s’installe dans votre coeur, l’envie de ne rien faire vient. PROFITEZ-EN !!!!

Papa je t’aime ! <3

Julie.

Mai
31
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par Eleve Dp3h le 31-05-2011

J’ai effectué mon stage du 28 au 1 à mairie au service des sports, située à côté de la piscine à Rasseteau. Elle est spécialisée dans l’animation sportive.

J’ai trouvé cette entreprise par M. Bouderlique, responsable du service, que je remercie au passage, car il m’a conseillé pour mon avenir.

Lors de ce stage, j’ai participé à l’animation basket, j’ai donc aidé les jeunes poussins à faire leurs activités.

Poussin : c’est une catégorie de joueurs, ils sont âgés entre 5 et 7 ans.

Je leur ai aussi appris quelque fondamentaux du basket.

J’ai beaucoup aimé cette expérience, car j’étais dans mon élément et ce stage m’a permis de découvrir ce métier passionnant d’animateur sportif ou d’éducateur sportif.

Yann

Mai
31
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par Eleve Dp3h le 31-05-2011

J’ai effectué mon stage du 28/03/2011 à 01/04/2011 chez Colas centre ouest, situé à Châtellerault. (Z.I sud de None) Suite à une sortie sur place avec la DP3, ce stage m’a permis de découvrir un nouveau secteur, car c’est mon deuxième stage.

Ce stage s’est  très bien passé, l’ambiance entre les ouvriers au quotidien était très bonne et j’ai appris que la sécurité est très importante sur les T.P. (Protéger, Alerter, Secourir).

Je conseille d’y faire un stage pour tout ceux qui aiment les T.P (travaux publics), je remercie infiniment M. Sébastien DREUX, pour m’avoir offert cette chance car, sinon je n’aurai pas eu de stage.

Luis

 

Mai
31
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par Eleve Dp3h le 31-05-2011

Sortie sur le Chantier de la rocade SUD

Le jeudi 24 Mars, nous sommes allés en Taxi sur le chantier de la rocade Sud, située près de Cenon-Sur-Vienne (la zone de Nonnes). Nous sommes descendus à la Colas : l’entreprise de travaux publics qui intervient sur ce chantier : nous avons été accueillis par M. Dreux, chef de chantier.

Il nous a présenté le chantier et nous a présenté les conseils de sécurité qu’il fallait respecter sur le chantier.

Le chantier consiste à faire une nouvelle route qui passera au-dessus de la ligne SNCF. Ils sont organisés : ils utilisent un plan de la zone et un graphique présentant les courbes du terrain.

Prises de vue :

On a pris des photos du chantier en cherchant à avoir chacun son point de vue différent des autres.

Nous avons tous aimé cette sortie à la Colas qui nous a permis de découvrir comment la route sera construite.

Cette sortie est dans le cadre de La FNTP (Fédération des travaux publique) pour un concours photo.

Voici les photos que l’on a sélectionnées pour le concours :

Mai
31
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par Eleve Dp3h le 31-05-2011

 

J’ai eu l’occasion de faire un stage dans l’association Bio solidaire, qui est une association de loi 1901 créée en 2006 animée par un esprit de solidarité et une sensibilité bio, qui a décidé de créer un chantier d’insertion. Elle se situe dans les anciennes caves à champignon à Senillé. Ce type d’association doit permettre de vendre des paniers de légumes issus de l’agriculture biologique aux adhérents consommateurs en leur proposant de s’abonner. J’ai choisi de faire mon stage dans l’association bio solidaire pour me permettre de me rendre compte que c’est un travail qui requiert beaucoup d’attention. Je trouve que cette association est très bien car elle permet à des personnes en difficultés de pouvoir s’intégrer dans le milieu du travail.

Ces cinq jours de stages m’ont permis de découvrir ce qu’est une association avec un esprit de solidarité. De mon souhait, j’ai effectué deux stages complètement différents, un dans une grande entreprise (la fonderie du Poitou aluminium) et celui que je viens de vous présenter. J’ai trouvé ce stage très intéressant et positif car cela permet la réinsertion de personnes en difficultés dans le monde du travail. Pour mon avenir, je ne pense pas travailler dans le domaine de l’agriculture mais plutôt dans le domaine de l’industrie.

Je remercie l’association ainsi que tout le personnel qui m’a aidé pendant les cinq jours de mon stage et qui m’a donné la possibilité d’être le premier stagiaire à découvrir l’association Bio solidaire.

Victor V.

Mai
31
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par Eleve Dp3h le 31-05-2011

 

J’ai effectué mon stage du 28 Mars au 2 Avril 2011 dans l’entreprise M.L.I. située 32 rue Pierre Pleignard (Aux environ de Leclerc). Mon responsable sur le lieu du stage était M. Pouffarin Benoit. M. Dargenton et Mme Pradoux étaient en charge du suivi de ce stage.

M.L.I. (Média Links Informatique) a été créée en 1998. Le patron s’appelle Mickael Pelletier. L’adresse  e-mail de l’entreprise est : mli@free.fr et son numéro de téléphone est le 05.49.85.51.09. Son activité principale consiste à réparer des ordinateurs des particuliers ou des professionnels. Les horaires de travail des employés sont : 9h/12h ; 14h/19h

Son activité est l’informatique et le multimédia (vente & maintenance): ordinateurs, image, son, composant, périphériques, réseaux, connectique, logiciels et consommables. Ils font aussi du Réseaux/Télécoms. Son secteur d’activité est tertiaire. Leurs principaux clients sont : les particuliers, les entreprises, l’administration.

Ce stage de 5 jours est obligatoire en 3ème et nous permet de comprendre le fonctionnement d’une entreprise et de découvrir les différents métiers dans une entreprise.

J’ai aimé faire ce stage car c’est dans cette voie que je compte m’orienter et j’ai appris de nouvelles choses. J’ai aussi appris qu’il faisait du Réseaux (installation et maintenance) dans plusieurs entreprises de la Vienne, mais malheureusement ils ne prennent pas d’apprentis en Bac Pro SEN (Systèmes Electronique Numérique).

Je remercie vivement l’entreprise M.L.I et le collège George Sand pour m’avoir permis de faire ce stage.

Wilfried.M

Mai
30
Classé dans (Le torchon brûle) par Agnès Dibot le 30-05-2011

Cet article, clin d’oeil sympathique à Kévin qui m’honorait ce matin d’un superbe tchip puis d’un fort vexant : “d’t façon, vous savez pas ce que ça veut dire !” Et comment, bien sûr que, si, je le sais ! Vous n’avez pas le monopole de la culture, chers zélèves ! Et il se trouve que l’Afrique, dans la famille, on connaît, un peu, et par diverses façons qu’il ne m’est pas donné ici de développer.

Et puis, sincèrement, enseigner dans ce collège depuis 15 ans, et animer des ateliers journaux, cela forme aux cultures diverses !

Méfiez-vous toujours des apparences : n’oublie pas, Kévin. Demande à Paco, mon grand élève de sixième3, ce qu’il advient de lui quand il tchipe après un reproche : il copie la définition du tchip. C’est un signe de protestation fort irrespectueux, qu’on n’aurait pas idée de faire devant un supérieur hiérarchique ! Or, nous sommes vos professeurs !

On ne tchipe pas devant un adulte, voyons ! Ou bien, il faut s’attendre à une réaction enflammée, ce fut le cas ce matin pour Kévin.

Allons plus loin, et, puisque ma culture personnelle ne semble pas convaincre Kévin, voici une source africaine :

Yaotcha d’Almeida, mi-togolaise, mi-guadeloupéenne, nous familiarise avec ce mode d’expression africain.

“En fait, il m’a fallu attendre l’adolescence pour réaliser que tout le monde ne « tchipait » pas. Depuis ma plus tendre enfance, j’entends mon entourage « tchiper ». Bon, il faut dire que mon père est togolais, ma mère guadeloupéenne et que, dans l’une comme dans l’autre culture, tout le monde « tchipe ».

 

Laissez-moi vous expliquer ce qu’est le « tchip » : le « tchip » est une production buccale sonore typiquement afro. En effet, elle est partagée par la majorité des cultures noires qu’elles soient africaines, caribéennes ou noires américaines. D’ailleurs les noirs américains disent : « to suck your teeth », ce qui signifie littéralement : « sucer ses dents ».

Et justement le « tchip » est produit par un mouvement de succion des lèvres contre les dents parallèlement à un mouvement opposé de la langue. Comme ça : « tchip ». En somme, toute la bouche participe au « tchip » quand ce n’est pas l’ensemble du visage ! Car un bon « tchip » ne saurait se faire sans l’expression adéquate qui se doit de l’accompagner.

Il y a plusieurs types de « tchip » et un cortège de règles à suivre si l’on ne souhaite pas se retrouver dans une situation délicate liée au « tchipage ». La première fonction du « tchip » est de marquer la désapprobation et l’agacement. Et ne « tchipe » pas qui veut quand il veut ; le « tchip » répond à des codes bien précis qui suivent la voie hiérarchique. En effet, on peut se « tchiper » entre pairs ou « tchiper » un subordonné ; mais il ne me viendra jamais à l’idée de « tchiper » un aîné ou mon employeur par exemple ! Si quelqu’un « tchipe » au cours d’une conversation sans s’adresser à une personne en particulier, il s’agit alors d’une sorte de commentaire réprobateur.

Autre « tchip », le « tchip » maternel. Je me souviens clairement de ces « tchips » qui accompagnaient le regard « recadrant » de ma caribéenne de mère lorsque je disais ou faisais une bêtise.
C’est le même « tchip » que me servaient ma grand-mère et mes tantes. Ce « tchip »- là est plutôt féminin même si les hommes le pratiquent également. Ensuite, il faut savoir que le « tchip » se décline : ça va du « tchip » court et sec qui équivaut à un : « Tu dis des bêtises » ou « arrête un peu » à un « tchip » long et méprisant carrément assassin. Bien sûr, les expressions du visage qui accompagnent le « tchip » en renforcent la portée, même si l’expression boudeuse voire méprisante de la bouche à ce moment est en soi assez éloquente.

Il y a le « super-tchip », celui qui se finit par un claquement de la langue à l’arrière du palais et qui vous fait comprendre qu’il est inutile de dire un mot de plus. Ce « super-tchip »- là est typiquement africain, les Antillais ne l’utilisent pas. Ce « super-tchip » est parfois un peu surréaliste. Un jour, dans le métro, j’ai été gratifiée d’un « super-tchip » par une maman africaine, à qui apparemment ma tête a déplu. Entourée de sa progéniture, elle m’a regardée des pieds à la tête puis m’a ouvertement « tchipée » sans aucune raison apparente. Je n’ai jamais su ce qui avait motivé ce « tchipage ».”

Alors, tchipeurs, arrêtez de tchiper !

Mai
29
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 29-05-2011

La princesse de Clèves est, pour moi, un des sommets de la littérature française, issu de ce XVIIème siècle si fécond en noms et oeuvres illustres. Voir ce soir, en un documentaire à la confluence des influences d’ Entre les murs, La journée de la jupe, L’esquive, un groupe d’élèves d’un lycée ZEP des quartiers nord de Marseilles s’en emparer admirablement, fut une révélation.

Que n’avez vous vu, chers zélèves, que n’avez vous entendu, ces réflexions de jeunes qui vous ressemblent tant en leur quotidien et aspirations. Je ne puis ici donner que de brèves informations (tout roman m’est interdit) mais entendre un slam en langage soutenu sur musique baroque, j’ai adoré. Assister au débat entre deux jeunes noires sur ” je me sens française”, l’une allant jusqu’à parler de ses ancêtres Français du XVIIème siècle tant elle se sent intégrer à la culture française, réclamant des textes à la hauteur et non au rabais  de l’incapacité présumée des élèves de ZEP à les comprendre, fut enthousiasmant. La réponse de sa comparse, qui ne partage pas ce sentiment mais reconnaît à la culture française un poids certain, tout autant. Entendre cette mère de famille parler de la fête qu’elle veut organiser si elle voit son fils bachelier fut si émouvant. Et puis surtout, tout au long de la projection, ces élèves qui nous redisent ô combien ils parviennent à s’identifier aux héros de ce roman. Ils constatent à quel point cette langue est belle pour parvenir à exprimer ce qu’ils ressentent, il y a là des mots intemporels qui expriment leurs désirs, leurs maux, leur amour, leur trouble, leur passion, tout cela alors qu’ils sont comme vous, vivent comme vous, aiment ce et ceux que vous aimez.

Ce film réconcilie les générations et donne une manière d’approcher la notion d’identité nationale d’une extraordinaire façon. Que tous ceux qui pourront le voir se précipitent, en 1h15 tout est dit, et fort bien.

 

Mai
27
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 27-05-2011

Chers zélèves,

certains d’entre vous aviez, par une après-midi désertée par les autres, vu quelques extraits du film documentaire “Nos enfants nous accuseront” : vous en souvenez-vous ?

Vous aviez pris des notes : que sont-elles devenues ?

L’une de vous, l’un de vous, peut-il m’envoyer via ce blog (sous forme de brouillon d’article) un résumé ou ses notes ? Nous avons terminé, avec les quatre élèves présents cet après-midi, la page pour la NR sur l’alimentation biologique mais il me manque ces textes, jamais saisis sur le Torchon…

Merci !!!!!!!!!!!!!!

Mai
27
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 27-05-2011

Il nous faut à tous obvier au quotidien à quantité de phénomènes, de faits, de propos. Il est d’ailleurs délicat et usant de devoir ainsi obvier à tous ce que les autres nous infligent et qui ne fait que s’ajouter à la déjà longue liste de tout ce qui émane de notre être propre.

Le pire, avec ce mot à la sonorité curieuse, est d’ailleurs qu’il peut être considéré comme obsolète ou désuet alors qu’il serait pour nos jeunes  zélèves une salutaire planche de salut. Obvier au sens premier signifie “mettre obstacle”, il est pris dans une acception qui lui donne comme synonyme “prévenir, remédier”.

Je vous livre ici la retranscription d’ un dialogue surpris entre deux zélèves de troisième dans la cour:

– Afin d’obvier à la chute de mes résultats scolaires, je me rends au soutien DNB.

– Tu fais bien. De mon côté j’obvie à ma fatigue croissante en me couchant plus tôt et en ayant une vie plus saine.

-C’est parfait, j’eus cependant souhaité que nous obviions tous deux plus tôt en cours d’année. Nous n’obviâmes que bien tardivement à nos travers respectifs.

-C’est là le fruit de l’inconstance de l’âge, pour reprendre Rimbaud je dirais que l’on n’est pas sérieux lorsque l’on a 15 ans.

Vous le constatez, ô lecteurs, ce verbe est on ne peut plus d’actualité. Veillez donc à le replacer dans une prochaine conversation, après tout, c’est le début de la saison des mariages, puis ce seront les vacances. Afin d’éviter qu’une conversation ne tombe à plat, à table, dans un dîner de famille, au bord de l’eau, avec votre amoureux (se), relancez la, la conversation, pas votre amoureuse, en usant des divers mots de cette rubrique, succès assuré, mais je ne précise pas la forme dudit succès.