Suite à la venue de Jean-Yves Le Nezet, journaliste à la Nouvelle République, je me suis renseigné sur le métier de journaliste, en général.
En quoi consiste t-il ? Transmettre une information sur n’importe lequel sujet et support et la rendre compréhensive et accessible à tout le monde comme les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et internautes. Le journaliste est tout d’abord un rédacteur : même dans l’audiovisuel, un journal qui passe à la télévision et à la radio sont rédigés avant d’être lus au micro. Le journaliste recueille plusieurs informations, il enquête, réalise des reportages, des interviews, il peut être spécialisé dans des domaines bien précis comme le sport, la politique, la santé etc.
Quelles sont les qualités nécessaires pour exercer ce métier ? Pour exercer ce métier il faut aimer transmettre l’information, être curieux et rigoureux avoir une bonne culture générale et avoir la maîtrise des langues étrangères, être réactif parce que l’actualité ne s’arrête jamais et aimer se déplacer à l’étranger. Les inconvénients sont les horaires décalés et il faut beaucoup se déplacer.
Quel est votre rythme de travail ?
Le rythme de travail d’un journaliste est décalé, soit il travaille de jour plus habituellement et de nuit pour faire des interviews pour les déplacements. Jean-Yves Le Nezet dit vivre à 100 à l’heure. Et aimer cela.
Quelles sont les étapes de formation pour accéder a ce métier ?
La formation est très variable : ça commence à bac+2 et ça finit à bac+5
Quel est le salaire de base du débutant ?
Le salaire de base d’un débutant est de 1300 à 2000 brut.
Source : Onisep.fr
William.
Sur cette photo (Le Torchon) on voit M. Le Nezet qui présente son métier.
Avoir le seum, encore un mot de jeunes dont notre cher Professeur d’Histoire ne connaissait pas la definition, alors nous la lui avons donnée en cour :
Avoir “Le seum” c’est-à-dire, être enervé envers quelqu’un ou quelque chose. Etre mal, avoir “la rage”.
On dit souvent, ” Holàlà, comment j’ai le seum!! A causse de ce prof : il m’a donné 1 heure de colle.”
Un mot que certains professeurs n’acceptent pas car ils trouvent ça beaucoup trop familier.
Mazarine et Anissa