Ancien ouvrier chez Ford, ancien conbatant de la guerre de Corée, Walt Kowalski habite dans un quartier qu’il ne reconnaît plus, entouré de voisins qu’il n’aime pas.
Au début du film, il va perdre sa femme et sa seule raison de vivre est maintenant sa voiture, une superbe Ford Gran Torino 1972. Mais voilà qu’un ado asiatique veut lui voler ce trésor inestimable à ses yeux. Cet ado en question etait influencé par son cousin et, en réalité, le vol de cette superbe voiture était une façon de prouver son intégration dans leur bande (chose que ne voulait pas Thao).
Walt Kowalski est, on peut dire, je pense, raciste envers les chinois et n’a pas peur d’affronter et provoquer les jeunes qui traînent dans son quartier. Ses voisins sont chinois et, au cours d’une bagare entre Thao et son cousin, Walt kowalski va intervenir et c’est là que tout commence. La famille de Thao va le remercier en lui donnant plein de plats chinois et en lui laissant Thao toutes une semaine de façon à ce qu’il réalise des tâches pour se faire pardonner d’avoir essayé de voler la voiture.
Walt Kowalski va peu à peu s’attacher à Thao et va aller lui trouver du travail. Mais un soir, alors que Thao rentre du travail, il ce fait battre par son cousin et Walt Kowalski n’a pas l’intention de laisser passer ça. Il se rendra donc chez le cousin de Thao en ayant pris le soin de faire son testament et en faisant semblant d’être armé. La bande n’a pas hésité à ouvrir le feu et de par le nombre de témoins important, il se feront arrêter et Thao vivra tranquille.
C’est un très beau film de par son histoire touchante et sa leçon de vie.
Alexandre Le Grand
Il suffit d’avoir l’appareil-photo à portée de main et de vous observer, chers entorchonéidés, en séance media, pour s’en rendre compte : vous avez avec l’option media, donc avec le Torchon (un quasi syllogisme !) une relation passionnée ! Un petit clic pour vous le prouver en images.
Un mot du vendredi en “S”, comme annoncé, pour répondre à ce “seum” dont nous ne savons toujours pas s’il faut lui ajouter un E final.
Ce fut mardi que madame de la Vieille Rédaction et votre serviteur furent frappés d’une commune amnésie. Madame de la Vieille Rédaction soulignait que, lors de mon entretien avec le jeune Pannier, j’avais usé de cette manière de parler et d’écrire que j’affectionne. Elle semblait me reprocher, mais ce n’était qu’illusion, je le sais, une manière de trancher dans les choses s’articulant autour de raisonnements en 3 étapes( ce qui est névrotique chez les historiens). Nous cherchâmes le nom de ce type de raisonnement, vous l’avez en titre.
Que l’on m’autorise ici à citer le dictionnaire, le petit Robert pour être précis, en son article syllogisme, dont on nous dit qu’il s’agit d’un “raisonnment déductif rigoureux qui ne suppose aucune proposition étrangère sous-entendue”, et qui, d’une manière péjorative caractérise un “raisonnement purement formel, étranger au réel” .
Je dois reconnaître, humblement, qu’il me semble que les deux aspects de la définition peuvent en effet s’appliquer à mes propos et manière d’écrire, différemment, en fonction des circonstances: il m’arrive parfois de me montrer étranger au réel dans mes propos et c’est d’ailleurs parfois salutaire, en outre, afin de préserver certains types de relations, des discours purement formels suffisent. Quant à la rigueur, j’espère bien en faire preuve le plus souvent possible.
Pour conclure, l’exemple de syllogisme que l’on me donna en philosophie, au siècle passé, alors que je préparais ce sésame que l’on nomme bachot fut le suivant:
les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel.