Ou est-ce l’inverse… 🙂
Hier, nous sommes allés voir un film aux 400 coups avec Collège au cinéma ! Ce film c’était : Fenêtres sur cour réalisé et produit par Alfred Hitchcock. En Version Originale Sous-Titrée En Français.
Les élèves de la 3°2 nous ont donné leurs avis après la séance : des avis très partagés :
97% ont aimé
2% ont dormi ( Eh oui, on dort des fois devant un film en VOSTFR ),
et le dernier pourcent a mangé des Nioums-nioums
Le film parle d’un photographe qui se blesse en faisant un reportage, il se retrouve la jambe dans le plâtre. Il habite dans un appartement qui donne sur une cours encadrée d’immeubles. Dans ces immeubles vivent :
– un couple de jeunes mariées romantiques
– Mademoiselle Torso qui est danseuse
– un compositeur
-un couple qui se chamaille continuellement
-un couple qui dort dans les escaliers de secours
-” Coeur Solitaire “.
Jeff, le héros de l’histoire, je dirais, croit que le mari du couple qui se chamaille sans cesse aurait tué sa femme ! Il observe ses voisins aux jumelles… Pour en savoir plus sur l’intrigue policière, allez voir le film 🙂
Le + du film : l’histoire d’amour, la critique du mariage.
Le – du film : la qualité ( il est sorti en 1954 ), les sous-titres.
L’intrigue du film vient au bout de 30 minutes, ce qui est long. C’est un huis-clos, c’est à dire qu’on ne bouge jamais de la pièce principale de l’appartement du héros. Ce film fait partie de la culture filmographique. 🙂
Les Simpson ont repris l’histoire : Bart s’est cassé la jambe, il est dans un fauteuil roulant et croit que Flanders a tué sa femme ! Un grand classique 🙂
Chères zélèves,
Vous avez une note option media, insérée dans votre moyenne de français : le seul moyen que j’ai trouvé pour ne pas faire chuter votre moyenne générale. J’ai inscrit cette note sous le titre MEDIA. Vous la trouverez donc dans Pronote (si ça fonctionne)
Cette note ne fait chuter la moyenne de français à aucune de vous. Pour certaines, elle la valorise même grandement !
Les critères : participation orale lors des séances media, investissement sur le blog, implication personnelle dans le projet option media et présence sur Le Torchon (articles, commentaires, illustrations) et dans Pink Paillettes.
Bonne journée à vous, à demain,
A. Dibot. PS. Alyssia, j’attends ton article sur Fenêtres sur cour pour ce soir : est-ce possible ? J’insérerai les dessins de Laura et de Wassila.
Aujourd’hui on compte 2,81 millions de personnes sans emploi en France. Le chômage doit être dur pour certains hommes ou bien femmes qui veulent travailler et non qui profitent de la société (Etat). Ca doit être aussi dur de ne pas avoir assez d’argent pour nourrir convenablement ses enfants et soi-même.
Le chômage est dû soit à un licenciement car l’entreprise n’as pas assez marché les années précédentes ou soit à un problème entre le patron et vous, donc là, c’est vous qui démissionnez et vous touchez de l’argent. Le chômage est énorme en France. Pour toucher le chômage, il faut déjà avoir travaillé dans sa vie et fait tant d’heures. L’argent versé aux hommes et aux femmes, qui touchent le chômage n’est pas énorme : il permet juste de vivre, eh oui, c’est la crise.
Lors de la conférence de Mathieu Laurent et Lucas Menget sur le métier de grand reporter, une question d’élève avait soulevé le cas particulier des femmes grands reporters. Nos deux journalistes avaient salué leur courage et le rôle qu’elles jouent auprès des populations locales (et des fixeurs), notamment en Egypte, en Lybie : dans ces pays, elles sont un alibi de confiance pour entrer en contact avec la population féminine : à une femme reporter, une femme parle. A un homme, non.
Depuis quelques jours, pourtant une polémique enfle dans le monde du journalisme : trois femmes grands reporters (françaises, américaines) ont été ces derniers mois agressées sexuellement par des hommes, dans les pays où elles enquêtaient sur les révolutions arabes. A chaque fois, le même processus : dans la foule, des hommes se ruent sur la journaliste, la déshabillent, et l’agressent, parfois jusqu’au viol.
http://fr.news.yahoo.com/caroline-sinz-viol%C3%A9e-%C3%A0-tahrir-foule-applaudissait-185750698.html
Les rédactrices jeunes filles que vous êtes peuvent s’intéresser à cette information : certaines voudront peut-être réagir…
Chères Fanta et Mégane,
Aurez-vous un peu de temps pour composer un article avant ce soir, s’il vous plaît ? Après, il sera trop tard pour qu’ils figurent et sur Le Torchon, et dans Pink Paillettes…
Fanta : l’interview de M. Bouthier au sujet de l’uniforme au collège rédigée, présentée d’une façon personnelle, avec les étapes suivantes : quand est-il venu nous voir ? Pour nous parler de quoi ? Qu’en a-t-il dit ? De quelle façon s’est-il exprimé ? (on pense à l’accent, évidemment…) Avez-vous apprécié cette intervention ? Etc. N’hésite pas à faire original dans la façon dont tu vas présenter ton article.
Mégane : Crée un autre article (je l’insérerai au premier) pour expliquer vraiment ce que c’est que le théâtre d’improvisation : patinoire, règles, hors sujets, arbitres… Raconte, peut-être, deux ou trois exemples de situations de jeu ! Et précise ton jugement sur cette séance de théâtre : toi qui en fais, te retrouves-tu dans cette façon de jouer, ou pas ?
Merci à vous deux.
http://www.youtube.com/watch?v=otTotyP7heIHier, nous, la classe des 3°2, nous avons regardé le film Un long dimanche de fiançailles (film de J.P. Jeunet adapté du roman de S. Japrisot). Bizarrement j’ai plus compris le film que le livre. Ce film est excellent, enfin, je trouve. C’est un film sur la guerre, mais ça parle aussi d’amour.
Mathilde, qui est l’héroïne de ce film, décide de faire l’amour pour la première fois avec Manech. Manech et Mathilde sont amoureux. Manech doit partir combattre au front, en avril 1916, donc il décide de se fiancer avec Mathilde. Manech part au front, et est porté disparu en 1917. Mathilde décide de mener sa propre enquête car elle se fait beaucoup de soucis pour Manech, qu’elle ne croit pas mort. Ce qui est une belle preuve d’amour, d’ailleurs.
Durant cette guerre, Manech pense beaucoup à Mathilde, il entend sont coeur battre dans sa main. Mathilde, qui est handicapée – enfin, boiteuse- décide d’aller à Paris pour demander aux anciens combattants de la tranchée Bing au Crépuscule s’ils ont vu son fiancé. Mathilde a vraiment peur de pas le revoir, mais elle finit par le retrouver, vivant ! Quand elle l’a revu, elle le regardait, le regardait, le regardait, elle avait le sourire aux lèvres. Et puis, maintenant, c’est à nous d’imaginer la lettre que Mathilde écrit à Manech le jour de leurs retrouvailles, pour le demander en mariage…
http://www.youtube.com/watch?v=qvu6P3E2j1ICe reportage pour illustration de ce que je vous disais l’autre jour : à l’heure où tous les salariés sont censés communiquer par mail (et donc de façon immédiate) avec leurs supérieurs hiérarchiques, il n’est plus possible de dissimuler ses carences en orthographe ! Grande victoire pour vos professeurs de français (et vos parents !) : vous allez réaliser qu’on ne vous dit pas qu’il faut apprendre vos règles de grammaire pour vous embêter !
A voir aussi en replay, l’émission 66 Minutes du 20/11/11 sur M6, sur le même sujet.
Chères zélèves,
Quand je vous disais l’autre jour qu’on licencie des employés pour “fautes d’orthographe”, je ne parlais pas des secrétaires de l’Elysée ! Pourtant, il semblerait que celui/celle qui a composé le message ci-dessus au nom du Président de la République ait de la peine à appliquer les règles de grammaire apprises… au collège !
Et gardez-vous bien de considérer ceci comme la porte ouverte à tous les espoirs de vous en sortir avec une orthographe fantaisiste : imaginez les conséquences pour l’auteur de ce message, diffusé dans tous les media, y compris le Torchon, inter-planétairement lu !
En effet, cette séance media d’hier était très cordiale, l’ambiance y était détendue, propice à l’échange : et Océane P. a largement contribué à nous faire rire en endossant un uniforme pour la séance photos !
La visite de M. Bouthier, qui a répondu à vos questions sur l’uniforme avec bonne grâce, a elle aussi été un moment intéressant : n’est-ce pas, Imène ? Charmant, l’accent du sud, non ?
Pendant ce temps, Marion, qui était absente, composait chez elle un article dans lequel elle exprimait sa souffrance morale au sujet de la maladie de sa maman : c’est ça aussi, un vendredi, parfois…
Espérons que tout s’arrange pour Marion, et qu’Océane P. soit choisie pour représenter le collège au futur défilé de mode “collection automne-hiver 2012-2013 uniformes de collégiennes” ! Elle le porte avec tant d’humour !
J’ai bien envie de parler de ça car ça me tient tellement à coeur (par expérience )
Quand quelqu’un te dit cash : -“Ecoute, Marion, j’ai un cancer, tout se passera bien ne t’inquiète pas !”
Et après,cette personne te dit pour rire -“C’est pas grave, ça me fera maigrir 🙂 !” T’as jute envie de lui dire : “Qu’est ce que tu es bête de dire ça… Et tu te mets à pleurer, tu ne sais même pas pourquoi.
Croyez moi, vous vous ramassez une claque violente ; quand tu as vraiment l’âge de comprendre et quand tu y repenses, tu te dis : “Cette personne devra partir un jour ou l’autre…” Tu vois juste pas ton avenir sans cette personne, tu te sentirais comme un ange sans ses ailes, tu tomberais plus bas que terre… Tu as juste une boule dans le ventre : plus tu y penses, plus tu déprimes, surtout quand c’est pas la première fois…
Quand on y repense, on se plaint souvent pour un mal de ventre, un mal de gorge, un mal de jambe ou autre. Mais on ne pense pas à ces gens-là qui ont leur vie qui ne tient qu’à un ou fil, des fois, tu te dis : “Pourquoi eux, pourquoi ?!”
Le monde est cruel d’un côté car il nous enlève quelqu’un à qui tu tiens plus qu’à ta propre vie.. Je t’aime maman …
Une autre histoire ! ( Le prénom est changé )
Un jour, Alice a eu une nouvelle déprimante : son oncle était à l’hôpital il avait un anévrisme dans l’abdomen qui a fissuré dont les déchets toxiques présents dans le noyau de cette maladie sont descendus dans ses jambes au lieu de lui remonter jusqu’au cerveau.
Après avoir été opéré de celui ci dès le lendemain , ils ont dû l’amputer des deux jambes pour lui éviter la gangrène qui avait déjà progressé. Cette personne-là a était sous respiration artificielle, avait le sang qui n’était plus oxygéné, en réanimation pendant quatre jours : elle a souffert le martyr pour retourner par la suite en chirurgie et, dans son lit, tout souriant, regarde Alice et lui dit -” J’ai plus mes jambes mais je suis en vie ! Même que je vais pouvoir me faire de l’argent en vendant mes chaussure ! “
En conclusion, savoir regarder toujours plus loin que le bout de son nez ! Dans ces moments-là, le mieux à faire, c’est de rester fort, quoi qu’il arrive …
PtiteEtoile