Mai
16
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Mazarine le 16-05-2011

Demain à 9 heures, nous serons en direction de Poitiers, quatre d’entre nous : Julie, Anissa, Joffrey & moi. N’oublions pas Madame Dibot. Grâce à notre journal en ligne, nous avons remporté un prix juste académique, mais cela est mieux que rien.

Nous serons en charge de faire un discours pour les remercier ainsi que pour expliquer pourquoi nous avons choisi cette option et pourquoi un journal en ligne.

A nous d’être présentables comme d’habitude et de bien représenter notre collège. Merci à Madame Dibot de nous avoir choisis -nous- et d’avoir une totale confiance en nous : nous ferons de notre mieux pour vous et pour le collège.

Mazarine

Mai
16
Classé dans (Le torchon brûle) par Agnès Dibot le 16-05-2011

 

 

DSK

Il ne faut jamais laisser un enfant de neuf ans (tout juste !) dessiner sur la table basse du salon, devant le JT de 20 heures. Les media français relayaient ce soir les images de DSK livrées par la presse américaine.

Ce petit garçon dessinait ce qu’il voyait.

Mai
15
Classé dans (L'actualité au collège, Théâtre de Poche) par Agnès Dibot le 15-05-2011

Chers zélèves, et amis zinternautes qui nous lisez dans l’ombre de la Toile,

Profitons de ce Torchon pour mentionner un évènement et une soirée à réserver : celle du jeudi 16 juin, à 18 heures 30. Au Nouveau Théâtre de Châtellerault, vos camarades de 6è3 donneront une unique représentation de la pièce de théâtre qu’ils ont imaginée, écrite, et mise en scène : “Ariane perd le fil”.

Il s’agit d’un travail d’écriture sur la mythologie grecque : les élèves, en atelier, dans le cadre de l’accompagnement éducatif, ont lu des récits de la mythologie, puis les ont adaptés pour le théâtre. Avec humour, bien entendu.

M. Mastorgio et moi-même sommes ravis de vous inviter : nous vous réservons le premier rang si vous acceptez de prendre en charge le reportage-photo et l’article pour la NR !

Nous comptons sur vous !

A. Dibot.

 

Mai
15
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 15-05-2011

Chers zélèves,

Aucun intérêt pédagogique à cette brève, simple information : notre Big Adminstrator vient de nous obtenir le double de MO dont nous disposions jusque-là. Ce qui signifie ?

Vous pouvez vous laisser aller à votre penchant pour l’écriture, toutes et tous ! 😉

Oui, M. Mastorgio  vous zaussi !

Mai
14
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 14-05-2011

Toutes affaires cessantes, désireux de me divertir et d’oublier le livret de compétences, les subtilités de bonus de points pour le logiciel d’orientation et tout le reste, ou presque, je me suis rendu ce soir en une de mes salles favorites, afin de voir ce dernier Woody Allen, n’ayant pu me libérer plus tôt afin d’aller ouïr une retransmission de la Walkyrie de Wagner en direct de New York.

Je ne regrette rien, à l’instar de la grande Edith (d’ailleurs Cotillard est dans le casting). Woody Allen et moi partageons quelques névroses, on se targue de ce que l’on peut, et, ce soir encore, ce fut pour moi un ravissement de bien des manières. Ce minuit à Paris évoque le mythe de l’âge d’or, le déni du temps présent, l’illusion que tout ce qui fut avant était meilleur. Par un biais surréaliste, tel qu’on en retrouve dans plusieurs de ses films, des individus qui ne devraient pas se trouver là y sont, poussant les personnages principaux et contemporains du film à s’interroger sur leurs propres motivations et réflexions.

Le point de vue d’un américain sur Paris, et d’un autre, dans le film, à Paris, est enrichissant. Les bons mots qui fusent, sur l’illusion, les mensonges que l’on se crée, que l’on se dit, tout cela est merveilleux au sens premier, et la présence des peintres et écrivains surréalistes français, dans un des méandres chronologiques du film, pleinement justifiée. On passe, insensiblement du cabotinage et d’un petit délire spatio-temporel à une véritable interrogation sur le regard que nous portons sur notre présent, nos espérances, nos rêves.

Enfin, le plus beau demeure dans le fait que c’est alors que l’on attend le passé, connu, maîtrisé, rassurant, comme salvateur, il s’avère que c’est le présent et son côté inattendu, instable et anxiogène, qui assure le plein épanouissement du héros, incitant de ce fait à laisser tomber toutes nos craintes et angoisses. Un film surprenant donc, captivant, drôle et réflexif à la fois, qui nous pousse à sortir de nos certitudes et nous conduit à porter un regard différent sur le passé, le présent, l’avenir.

à voir, et à revoir. 

Mai
13
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Alexandre Le Grand le 13-05-2011

Ancien ouvrier chez Ford, ancien conbatant de la guerre de Corée, Walt Kowalski habite dans un quartier qu’il ne reconnaît plus, entouré de voisins qu’il n’aime pas.

Au début du film, il va perdre sa femme et sa seule raison de vivre est maintenant sa voiture, une superbe Ford Gran Torino 1972.  Mais voilà qu’un ado asiatique veut lui voler ce trésor inestimable à ses yeux. Cet ado en question etait influencé par son cousin et, en réalité, le vol de cette superbe voiture était une façon de prouver son intégration dans leur bande (chose que ne voulait pas Thao).

Walt Kowalski est, on peut dire, je pense, raciste envers les chinois et n’a pas peur d’affronter et provoquer les jeunes qui traînent dans son quartier. Ses voisins sont chinois et, au cours d’une bagare entre Thao et son cousin, Walt kowalski va intervenir et c’est là que tout commence. La famille de Thao va le remercier en lui donnant plein de plats chinois et en lui laissant Thao toutes une semaine de façon à ce qu’il réalise des tâches pour se faire pardonner d’avoir essayé de voler la voiture.

Walt Kowalski va peu à peu s’attacher à Thao et va aller lui trouver du travail. Mais un soir, alors que Thao rentre du travail, il ce fait battre par son cousin et Walt Kowalski n’a pas l’intention de laisser passer ça. Il se rendra donc chez le cousin de Thao en ayant pris le soin de faire son testament et en faisant semblant d’être armé. La bande n’a pas hésité à ouvrir le feu et de par le nombre de témoins important, il se feront arrêter et Thao vivra tranquille.

C’est un très beau film de par son histoire touchante et sa leçon de vie.

Alexandre Le Grand

Mai
13
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 13-05-2011

 

Discussion enflammée sur la nécessité du devoir de mémoire

 

Il suffit d’avoir l’appareil-photo à portée de main et de vous observer, chers entorchonéidés, en séance media, pour s’en rendre compte : vous avez avec l’option media, donc avec le Torchon (un quasi syllogisme !) une relation passionnée ! Un petit clic pour vous le prouver en images.

 

Torchon-Concentration

 

 

Torchon-massage... ou la répartition des rôles dans le couple

Mai
13
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 13-05-2011

Un mot du vendredi en “S”, comme annoncé, pour répondre à ce “seum” dont nous ne savons toujours pas s’il faut lui ajouter un E final.

Ce fut mardi que madame de la Vieille Rédaction et votre serviteur furent frappés d’une commune amnésie. Madame de la Vieille Rédaction soulignait que, lors de mon entretien avec le jeune Pannier, j’avais usé de cette manière de parler et d’écrire que j’affectionne. Elle semblait me reprocher, mais ce n’était qu’illusion, je le sais, une manière de trancher dans les choses s’articulant autour de raisonnements en 3 étapes( ce qui est névrotique chez les historiens). Nous cherchâmes le nom de ce type de raisonnement, vous l’avez en titre.

Que l’on m’autorise ici à citer le dictionnaire, le petit Robert pour être précis, en son article syllogisme, dont on nous dit qu’il s’agit d’un “raisonnment déductif rigoureux qui ne suppose aucune proposition étrangère sous-entendue”, et qui, d’une manière péjorative caractérise un “raisonnement purement formel, étranger au réel” .

Je dois reconnaître, humblement,  qu’il me semble que les deux aspects de la définition peuvent en effet s’appliquer à mes propos et manière d’écrire, différemment, en fonction des circonstances: il m’arrive parfois de me montrer étranger au réel dans mes propos et c’est d’ailleurs parfois salutaire, en outre, afin de préserver certains types de relations, des discours purement formels suffisent. Quant à la rigueur, j’espère bien en faire preuve le plus souvent possible.

Pour conclure, l’exemple de syllogisme que l’on me donna en philosophie, au siècle passé, alors que je préparais ce sésame que l’on nomme bachot fut le suivant:

les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel.

Mai
12
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 12-05-2011

Non, vous n’êtes pas nuls, chers zélèves ! C’est un détournement de titre… Ne prenez pas la mouche…

Pour rattraper la part de cours d’histoire des arts que nous n’avons pas assurée cet après-midi, faute d’élèves pour le suivre (eh oui, quatre élèves sécheurs, + quatre élèves en Angleterre = une assemblée fort réduite, sur une classe de seize… la moitié !), ce titre : “D’art d’art”, une petite émission de télé (vision, dirait m.Mastorgio !) destinée aux nuls en arts plastiques, en musées… En culture, en somme.

 

Mai
12
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 12-05-2011

Chers zélèves,

Vous vous en souvenez sans doute, mardi prochain, une délégation de rédacteurs du Torchon et une délégation de rédactrices de Pink Paillettes est conviée à la cérémonie de remise de prix à Poitiers, dans le cadre du concours de journaux scolaires. Votre prix académique vaut bien un déplacement !

Mais il me faut choisir, parmi vous tous, qui composera cette délégation !  Choix cornélien (je laisse le mot à ma chère bonne Vieille Garde pour un vendredi ou un autre : je gage qu’il écrira tous les vendredi de juillet et d’août !) : qui de vous priver d’un cours de maths et d’histoire, qui de vous arracher à la douce quiétude d’une matinée au collège, qui de vous supporter toute une matinée dans la capitale de la région Poitou-Charentes, qui de vous, enfin, priver du plaisir de travailler, d’étudier, de préparer son brevet des collèges en ce mardi matin ?  Qui ?

“Vous choisirez ceux en qui vous avez le plus confiance”, me disait l’une de vous l’autre jour. Ah ?

Confiance ? Pourquoi, confiance ? Confiance en quoi ? En votre capacité à vous montrer polis, impliqués, volontaires ? Moui, j’ai quelques specimens de cette espèce-là en rayon… Confiance en votre capacité à écouter religieusement un discours, à taire vos egos, à vous engager à récupérer, enfin, les cours manqués : moui, là encore on doit pouvoir trouver.

Mais ce que j’aurais souhaité, c’est vous emmener tous : les petits fours sont, parfois dignes d’être goûtés lors de ces réceptions !

Ne me donnez pas de noms, mon sujet n’est pas là : mais compatissez !

Et pour Corneille, le premier (de mes zélèves !) qui me définit le “choix cornélien” (sans avoir recours au copier-coller), je l’inscris en tête de liste !

Votre (pas si vieille) rédaction.