Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, on sera toujours critiquée, en particulier sur nos vêtements, sur notre façon de nous coiffer, sur notre poids, notre style vestimentaire, sur nos style musicaux, sur tout…
On vit dans un monde où l’on a peur de ne pas être aimé, la peur de se faire rejeter. Parfois même, on craint les personnes populaires, même si elles ne sont pas toujours exemplaires. Certaines personnes préfèrent se taire, on ne doit pas toujours plaire, au contraire. Les personnes doivent vivre leur vie, ont ne doit pas empêcher les gens de vivre pour leur physique. Les différences sont des atoûts. Effaçons les critiques de quelques jaloux. Avançons dans la vie, projetons-nous dans l’avenir. Restons sincères même si ça peut déplaire. Ne jugeons personne avant d’avoir su ce qu’il a vécu , ce qu’il endure sûrement chaque jour. Restons nous, restons fidèle à nous-même.
“Le plagiat est une faute morale et/ou commerciale consistant à copier un auteur ou créateur sans le dire, ou à fortement s’inspirer d’un modèle que l’on omet délibérément ou par négligence de désigner. Il est souvent assimilé à un vol immatériel.
Le « plagiaire » est celui qui s’approprie indument ou frauduleusement tout ou partie d’une œuvre littéraire, technique ou artistique (et certains étendent ceci – par extension – à un style, des idées, ou des faits).”
Certaines zélèves n’apprennent décidément pas vite : la notion de propriété intellectuelle leur reste étrangère et ce, après plusieurs rappels de la part des animateurs de l’option media. Cette fois-ci, notre chère plagiaire a été pistée, et débusquée par ses propres camarades : celles qui apprennent elles, à écrire, à travailler leurs mots, à chercher des idées, à écrire avec le coeur. Celles qui ont le sens de l’honnêteté et veulent que leur Torchon reste un espace d’écriture personnelle.
Deux articles de l’une d’entre vous ont donc été identifiés “plagiats”. Les voici supprimés. Les preuves sont si faciles à trouver sur le Net.
Stupeur et déception dans les rangs, et pas seulement côté enseignants.
A bon entendeur.
Le compte-à-rebours est lancé : J-4. La presse va être de plus en plus intéressante à effeuiller.
A vos claviers, tentez de vous informer et d’observer la façon dont les media vont s’emparer de la politique.
Que fait Libération, ce matin, avec cette Une selon vous ?
Souvenez-vous de ces deux Unes du même quotidien, en avril, puis mai 2002.
Vous pouvez comparer l’angle choisi pour la photographie : vous pouvez commenter ce choix de la Rédaction de Libération.