Petite, une fille était le centre de sa famille, la poupée de son pére, elle était dans un magnifique royaume, tout ce qu’elle voulait, elle l’avais sans difficulté. Mais dès l’âge de ses 10 ans, sa vie bascula, plus rien de tout cela, la moitié de son coeur s’envola, pour elle plus rien n’allait, son rouyome se tranforma en un enfer.
Mais malgré tout ça, il lui resta quand même une épaule sur laquelle elle pouvait s’appuyer sur celle de sa mère. Sa personnalité changa sans même qu’elle s’en aperçoive, en vivant un manque paternel horrible. Tous les soirs, elle se demandait, “pourquoi il est parti et m’a laissée toute seule alors que j’étais sa raison de vivre ?
Mais peut -êetre qu’il n’est pas parti et qu’il va revenir me voir ?? “
Puis un jour, cette jeune fille réalisa que son paternel ne reviendrait plus, et que même s’il ne revenait pas la voir, il devait toujours veiller sur elle, comme elle pense toujours à lui.
Alors, depuis cela, cette jeune fille marcha sans se retourner avec un seul but, rendre son père fière d’elle et sa mère, qu’elle subvienne à ses besoins seule, sans l’aide de personne. Malgré toutes ses cicatrises, cette jeune fille va de l’avant avec le sourire aux lèvres , même si tout cela est horriblement dur.
Roland Gaillon est un homme âgé de 73 ans : enfant, il s’appelait Roland Goldenberg. Il était juif, c’était la guerre et les juifs étaient traqués, raflés, déportés, assassinés.
Roland Gaillon a su bien après leur disparition que ses parents s’envoyaient des lettres, quand son père était interné et sa mère en liberté. Il n’a pas voulu les lire parce que c’était quand même des lettres d’amour mais il a fini par changer d’avis. Il faut savoir que ses parents ont eu un mariage d’amour. Donc ils s’aimaient vraiment d’un amour tendre et profond. D’ailleurs, tout cet amour se ressent fortement en lisant les lettres : “ Ma petite femme adorée “, “A toi mes baisers les plus tendres “, “Embrasse bien nos deux fils et pour toi les baisers les plus tendres de ton mari “, ” Pour toi les plus douces caresses de ton mari qui se sent de plus en plus aimant de sa femme, comme si il était possible de l’être plus que je ne le suis ” …
Sonia, mère de Roland, a tout fait pour sortir son mari du camp, et de Mérignac et de Drancy, mais sans succès alors elle a fini par le rejoindre volontairement à Drancy : arrêtée à Paris, elle a accepté d’être internée, elle savait qu’elle rejoindrait son mari. Arrivée au camp, elle et son mari vivaient comme un couple normal, même s’ ils étaient dans un camp. Elle est même tombée enceinte mais elle a été déportée et tuée avec son mari à Auschwitz avant même d’avoir pu accoucher …
Au cours de ce témoignage et même après, chacun de nous a ressenti la même émotion, chacun a été touché plus ou moins différement. Cet homme possède une aura de force, de courage que tous ont pu palper. Derrière un regard impassible, on peut déceler de l’amour pour ses défunts parents, une peur enfouie mais si vivace, une histoire qui est sienne à jamais.
Aucun bruit, juste une voix sobre qui a traversé les années, et les pupilles dilatées d’élèves médusés par ce récit que nos enfants n’entendront jamais de vive voix.
Océane.L, Stella.R, Chloé.L
– De nos jours, on ne se fait plus respecter mais plutôt traiter.
– On avait trouvé celui qui nous faisait rêver, mais on s’est aperçu qu’il nous faisait marcher.
– Ils essaient de nous draguer, mais faut pas rêver, on est dans la réalité.
– Ils trouvent les mots auxquels on devient accros, mais à la fin, tout tombe à l’eau.
– Le célibat et une fierté, car mieux vaut être seules que mal accompagnées.
– Tu voudras la vie de Barbie et Ken, mais tu verras qu’il ne te fera que d’la peine.
– Avec lui tu ris, mais tu verras que la vie, c’est pas la petite maison dans la prairie.
– On a arrêté de pleurer le jour où on a réalisé qu’il nous ignorait.
– Arrêter de m’appeler poupée, on va pas se fiancer.
– J’ai rien fait pour te plaire, alors n’essaie pas de me la faire à l’envers, j’aime que mon père.
– Tu me sors v’là les disquettes comme quoi c’est dans mes yeux que tu te perds, tu m’auras plus, ça c’est clair.
– Avec les mecs, on fait un break.
Alyssia, Miss Glam.