Nous sommes déja au mois d’avril, bientôt sera la fin de l’année, ce qui veut dire chacun sa vie, chacun son chemin, chacun son destin. Cela va être triste, mais au fond de nous, nous avons passé de bons moments durant ces quatre années de collège. Le manque de nos amies sera irremplaçable. Nous avons eu des moments de folie, des moments de tristesse, et surtout des moments de rire. Toutes ces anées vont nous manquer , c’est passé tellement vite que nous avions pas vu le temps passé. Durant ces années, nous avions eu nos préférence, il y a eu des professeurs que nous avons appreciés, et d’autres beaucoups moins. Ces quatre années ont été nos meilleurs souvenirs, même s’il y a eu des jours où nous n’avions pas vraiment envie de travailler. Parfois même on séchait les cours. Sara et moi, nous nous sommes beaucoup fait prendre en mangeant, les professeurs nous demandaient souvent ”vous avez quoi dans la bouche ?” et nous toutes rouges, on disait ”des dents”. Touts ces moments resteront gravés dans nos coeurs et nous pensons que la fin de cette année va finir en pleurs et ça sera la plus mauvaise fin d’annés depuis notre arrivée au collège.
La politique, ce n’est pas trop notre “truc”, à nous, les jeunes, enfin, je parle en général. En média aussi, ce n’est pas un sujet que l’on aborde souvent c’est même plutôt rare, surtout pour des filles et c’est pas ce qui nous intéresse le plus ! Et puis de toutes façons, moi la politique, j’y comprends rien du tout !
C’est surement important de s’intéresser à la politique de son pays etc, mais je trouve cela juste imcompréhensible. Mais j’ai tout de même essayé de comprendre. J’ai donc décidé un soir de regarder l’émission Des paroles et des actes, sur France 2 . L’émission suivait son cours et je n’étais pas très attentive, sauf à un certain moment : c’était le tour du candidat Jean luc Mélenchon et ce qui m’a surpprise, c’est l’attitude du présentateur (David Pujadas) envers lui, le ton qu’il employait était plutôt sarcastique. Pour moi, c’était déplacé de parler de cette façon. Certains candidats se plaignent même du traitement des medias durant ce 1 er tour de campagne.
Pouquoi les médias agissent-ils ainsi ?
Pour ma part, je ne sais pas. En tout cas, n’oubliez d’aller voter ce dimanche 22 avril 2012 pour le premier tour de l’élection présidentielle :).
La Zapette.
Ce mot me permet le lien (on fait même du transdisciplinaire ici!) avec une rubrique absente cette semaine, pour cause d’exil temporaire de sa rédactrice sur les terres du futut héritier de la couronne de grande Bretagne et d’Irlande du Nord, dont tout le monde sait, depuis Clémenceau, qu’il s’agit de la première colonie française, ainsi que l’attestent sa conquête en 1066, sa devise et son ordre le plus célèbre. Bref, madame Gonçalvès se trouvant au Pays de Galles, j’annexe de manière fugace, voire fugitive, un morceau de la recette du mardi afin de placer mon mot du vendredi, lequel, en Poitou, désigne un aliment ou un plat cuit à moitié.
En outre, ne sachant rien refuser aux millions de lecteurs de notre Torchon, répartis sur les 5 continents, je livre aussi ce jour une des versions, je dis bien “une des”, afin d’éviter des milliers de lettres de protestation, qui peut exister de notre indétrônable broyé du Poitou, dont on prétend qu’il sera embarqué lors du prochain vol spatial vers la station orbitale freedom afin de consoler les astronautes de leur exil stellaire.
Il vous faudra donc:
-500 grammes de farine, on dit une livre.
-250 grammes de beurre, on dit une demi-livre
-50 grammes de sucre, ce qui est une concession contemporaine à nos papilles
-1 pincée de sel, la gabelle ayant été abolie, on ne lésine plus sur le sel!
-un peu d’eau, en fonction des besoins
1 oeuf est toléré mais non obligatoire.
après avoir mélangé le beurre pommade, c’est à dire un peu mou, ma non tropo, avec le sucre et le sel, l’oeuf éventuel, jusqu’à blanchiment dudit mélange, vous allez pétrir du bout des doigts avec la farine. Lorsque l’appareil est à terme, la pâte se décolle seule des doigts. Vous déchiquettez alors la boule, puis la reformez, sans trop travailler la pâte. Foncez, c’est à dire étalez, cette dernière sur une tôle beurrée, pas plus d’un centimètre d’épaisseur. Survient alors le moment crucial, celui où le broyé anonyme se pare d’un tracé spécifique, dessiné à la fourchette, qui identifie aussi sûrement ledit broyé que le motif d’un kilt écossais ou une empreinte biométrique, et permet d’assurer qu’il est fait par telle ou telle famille. L’ensemble, doré à l’oeuf ou au lait, est ensuite enfourné à feu assez vif, il faut que la plume d’une poule, mise dans le four, frise mais ne roussisse pas, ce qui équivaudrait à 180°C, pour un temps équivalent à celui que met le fut du canon pour se refroidir(voir à ce propos les explications de Fernand Raynaud, à trouver aisément sur youtube) mais assez proche des 30 mn. Ces précautions doivent éviter au broyé de sortir du four chauboule.
Au sortir du four, donc, la galette est broyée d’un violent coup de poing en son centre, d’où son nom.
Aujourd’hui, ma professeur de mathématiques étant absente (de 13h à 14h), quelques-unes de mes camarades et moi-même voulions venir au collège à 13h pour participer à l’atelier philo, tenu par Mme Dibot et Mm Santa-Cruz et Mastorgio.
La sonnerie de 13h retentit et toujours pas de professeur venant pour nous chercher. Alors, nous sommes parties à la salle des professeurs pour voir si Mme Dibot y était. La CPE nous répondit qu’elle n’était pas encore arrivée. Puis nous avons demandé à voir M. Santa-Cruz et puis il nous a dit (CATASTROPHE !!) : “Ah mais aujourd’hui, il n’y a pas d’atelier philo MesDemoiselles … Je n’étais pas au courant que vous alliez venir, Mme Dibot ne m’a pas prévenu … “.
Je suis rester bouche-bée. J’étais sous le choc (Mdr). J’étais venue au collège -EXPRES- à 13h pour faire l’atelier philo que je ne peux malheureusement jamais faire, vu que normalement j’ai maths sur ce créneau-là et comme par hasard, ce jour là, il n’y avait pas d’atelier.
Mme Dibot pourra même demander à Imène et Stella (elles étaient avec moi), que je ne m’en suis pas remise pendant au moins une bonne demi-heure !! Enfin bon, ce qui est fait est fait, on ne peut pas retourner en arrière donc tant pis ! Et comme M. Santa-Cruz l’a si bien dit “La prochaine fois, venez me voir MOI directement, quand c’est comme ça :)”.
Mais je suis sûre que Mme Dibot saura se faire largement pardonner cette maladresse en nous préparant un bon gâteau au chocolat pour demain, pendant l’option média 😉 ^^