Stella a donc gagné haut la main : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Rushmore
Ce sont les figures des quatre plus grands présidents des USA qui figurent, gravés dans la pierre… Si on en gravait quatre, en France… Ah non, flûte de zut, pas de politique !!!!
Puisqu’on ne peut pas faire de revue de presse politique (pourtant que les occasions de discuter, d’analyser seraient belles !) voici une revue de presse décalée.
Dans Le Monde, ce jour, un article pour Laura et ses ami(e)s geek : la revanche des geek. Qui saura décrypter cette illustration, l’analyser, l’expliquer et, surtout, dire quel monument célèbre aux USA elle parodie ? Non, M. Mastorgio, vous ne jouez pas !
Les beaux-parents, c’est ce qu’il y a de pire lorsque nos parents se séparent. J’ai une belle mère (pas si belle que ça mais bon … –‘), et je la déteste vraiment. Pourtant elle n’est pas méchante mais, pour moi, c’est comme si elle m’avait volé mon père. En plus c’est une bledarde, alors son accent n’arrange rien !
Je ne peux pas supporter quand mon père se permet de lui montrer des souvenirs (photos/vidéos…) de moi. Je ne vois pas pour quoi elle devrait les voir étant donné qu’elle ne faisait pas partie de ma vie à ce moment-là puisque les souvenirs sont toujours partagés et ça ne lui apporte strictement rien de les regarder. Elle veut trop faire genre la femme parfaite et ça m’énerve car en vérité ce n’est pas du tout le cas. Ça se voit qu’elle s’efforce d’être gentille avec nous, histoire que mon père puisse prendre sa défense lorsqu’il y a un conflit entre nous. J’ai horreur de quand elle rentre dans les discutions de mon père et moi ou autre …
Je suis dégoutée aussi parce que j’ai remarqué que depuis que mes parents se sont séparés, mon père avait changé. Déjà, il est moins souriants, gentil, marrant … qu’avant et le pire c’est que c’est devenu un bien meilleur mari avec sa nouvelle femme alors qu’avec ma mère il ne faisait aucun effort et c’est pour ça (en grande partie) que je lui en veux beaucoup. C’est difficile de voir qu’avec sa première femme (ma mère) il était comme ça et, là, il soit beaucoup mieux avec une femme qui n’a rien à voir avec moi.
C’est peut-être de la jalousie mais c’est ce que je ressens.
Chacun a pu observer un raz-de-marrée assourdissant autour du succès de Marine Le Pen au premier tour de ces élections présidentielles. Avec 20% de vote de Français, Le front National pèse dans la balance et ne peut être ignoré. Comment expliquer ce “réveil des français” selon Marine Le Pen ? Mais en est-il vraiment ? Quel partie de la population s’accorde aux idées usées d’une France conservatrice ?
La crise sans âge y est sûrement pour quelques chose, ainsi que cette envie de préserver une identité nationale que plus personne ne saurait définir sans être amené à exclure une partie du peuple français. Il y aussi l’envie de changement, la fin du sarkozysme : pas assez compétent pour certains, des promesses bafouées pour d’autres, une image que Le Pen a su véhiculer durant sa campagne. Voter Le Pen, c’est un refus de l’état du monde actuel, ce que le “mondialisme” a engendré. C’est une France de vieux qui a peur des jeunes, et une France de jeunes qui enrage parce qu’elle vivra sans doute moins bien que les vieux.
Elle impose à la France un changement dans la politique : elle inscrit désormait l’extrême droite dans la durée. Comme elle le dit : “Plus rien ne sera comme avant.”
Hélas, ou fort heureusement? Chacun son avis la dessus. Le vote est un droit, je ne juge donc pas les français qui ont voté pour cette dernière.
Ce dernier jour de sortie nous vit nous rendre à Chenonceau, via Loches. De la sorte, nous pûmes admirer le tombeau d’Agnès Sorel, ainsi qu’une fort belle architecture castrale médiévale. Architecture comparée par la suite à celle du resplendissant château de Chenonceau, d’époque majoritairement Renaissance. Ce bijou, ce château de femmes, fut possédé fin du XVIIIème par mme Dupin, grand-mère par alliance de notre chère Aurore Dupin, ci-devant baronne Dudevant, connue sous le pseudonyme de George Sand.
Après la visite in extenso du château, ce fut au tour des jardins, du potager, de la ferme où nous eûmes la chance de rencontrer un ébéniste d’art aussi luthier qui mettait la dernière touche à la fabrication d’une harpe, dont il nous fit entendre la sonorité tout en nous en contant l’histoire. Enfin, pour clore le tout, jeu dans le labyrinthe de verdure et là je dois bien reconnaitre que je n’ai plus l’âge pour jouer au loup…
Cette page d’école ouverte d’avril se referme ainsi, sur un ciel gris et frais, mais avec, je le sais, les bonnes réponses données par les zélèves le prouvent, des connaissances en plus et une culture qui s’affirme. Merci à notre partenaire, le centre social d’Ozon, sans lequel nous n’aurions pas mis cela en place, faute de mini-bus.
Pour paraphraser le maréchal-président de Mac Mahon, je dirais “que d’eau que d’eau”, mais aussi “que de vent, que de vent” pour cette journée en Touraine. Le parc de Richelieu ne fut pas visible en raison du trop fort vent qui risquit de faire choire sur nos augustes têtes quelque branche dangereuse. Nous nous contentâmes de la visite guidée de la ville et de ses deux espaces muséographiques. Signalons à ce propos que l’une des guides, universitaire, souligna le fait que notre groupe était sage et intéressé. Cela ne doit pas être dans ses habitudes car cela nous fut redit lors de la visite de l’après-midi par une autre guide. Merci donc, aux zélèves, de ce comportement qui donna de notre établissement une bonne image. Après avoir vu cette cité modèle et rêve d’un homme du XVIIème, toute de rigueur, de symboles, de symétrie, nous nous rendîmes au paisible et voisin bourg de Faye la Vineuse qui, avec ses 250 habitants est loin des 10 000 qu’il comptait au XVIIIème siècle. De cette gloire passée demeure la collégiale saint George, sa crypte et sa terrasse qui servait aussi de chemin de ronde, sur laquelle nous pûmes déambuler, en raison d’une acalmie, de la pluie et non du vent. Deux époques, deux modes d’urbanisation très différents et beaucoup d’anecdotes, mais aussi d’exercices pour habituer nos yeux à trouver sur les façades des maisons des informations que la place ou la taille des pierres peuvent nous donner.
Demain suite et fin de notre périple avec le château de Chenonceau.
Cettre très courte bande annonce, plus du style de ce que l’on nomme teaser, ne rend que très imparfaitement compte de ce que peut ête ce film. Julie Delpy continue à nous montrer que le fait de passer derrière la caméra tout en restant encore devant lui a permis de trouver vraiment un second souffle, sa cadence de production étant en outre très soutenue.
Cette comédie au rythme trépidant a quelques moments qui peuvent être considérés comme vulgaires, ou pour le moins grossiers. En dehors de cela, la construction de l’ensemble, appuyée sur des clichés de tous ordres, est divertissante. Deux familles se rencontrent à New York, les deux familles de deux individus que tout oppose, et qui vivent pourtant ensemble, une famille noir américaine, une famille française. Je vous le concède, les clichés mis en film, c’est cliché, mais ici tout cela est fait assez subtilement et y ajoute toujors quelque chose de plus. Pour autant, si c’est un bon divertissement qui assure de francs moments de rire, ce n’est assurément pas un film culte, mais ne boudons pas le rire lorsqu’il peut se présenter à notre porte et nous pousse aussi à réfléchir sur notre réputation nationale à l’étranger, laquelle, il faut bien le dire, ne s’arrange pas.
Aujourd’hui, mieux que la recette du mardi, l’atelier du mardi ! En effet, j’ai eu envie de proposer un atelier pâtisserie en anglais. Nous avons réalisé des cupcakes avec les élèves de CM2 et 6ème. Mais qu’est ce donc ??? So British !!!
Il s’agit tout simplement d’un mignon petit gâteau, recouvert de glaçage et décoré de façon festive.
Sur cette base, on peut tout faire varier : le parfum et la texture de la pâte, la couleur et le goût du glaçage, et tous les éléments comestibles qui le décorent ! Car le cupcake est un chef d’œuvre de pâtisserie et d’imagination : une bouchée gourmande qui se dévore d’abord avec les yeux avant d’y planter les dents.
Son origine est indéniablement anglo-saxonne (on les nomme « fairy cake », gâteaux des fées, au Royaume-Uni). Son nom renvoie aussi bien au moule (la « tasse ») dans lequel on cuit les gâteaux (désormais remplacée par une caissette en papier) qu’à l’unité de mesure des ingrédients nécessaires à sa fabrication, exprimée en « cups » comme tous les desserts anglo-saxons. La pâte traditionnelle se composerait en effet d’1 tasse de beurre, 2 tasses de sucre, 3 tasses de farine et 4 œufs… sans oublier la levure chimique !
Voilà la recette que nous avons utilisé aujourd’hui pour 12 cupcakes environ.
2 beaux oeufs
120 g de beurre très mou
4 cuillères à soupe de lait
140 g de farine
100 g de sucre en poudre
2 cuillères à café rases de levure chimique ( 1/2 paquet)
1 pincée de sel
qq goutes d’extrait de vanille ou autre parfum.
– Préchauffez le four à 180 degrés ou thermostat 6.
– Mélangez le beurre et le sucre avec un batteur, jusqu’à ce que la préparation blanchisse
– Ajoutez les œufs un à un, puis la farine, le sel et la levure. Mélangez bien puis incorporez le lait et le parfum de votre choix ( pas obligatoire)
– déposez des caissettes en papier dans des moules à muffin en silicone ou en fer et déposez 2 belles cuillères à soupe de pâte. Il faut garnir les 3/4 de la caissette , pas plus ! Il faut de la place pour que çà gonfle.
– Mettre au four pour 20 minutes.
– Laisser refroidir avant de garnir du glaçage de votre choix.
Eh oui, aujourd’hui pendant l’école ouverte, pour la sortie à Colombier nous avons été deux lycéens (Alexandre Mercier et moi) à venir à cette sortie vélo. Normalement nous n’aurions pas dû venir sachant que nous ne faisons plus partie du collège mais comme l’organisateur de cette sortie est gentil, il a bien voulu qu’on vienne avec lui à cette sortie vélo. Nous avons visité l’église de Colombier et en revenant nous nous sommes arrêtés à Scorbé-Clairvaux pour voir le château.
L’église de Colombier s’appelle Notre-Dame date du 12ème siècle. La façade de l’église est la partie la plus ancienne (12ème siècle). La corniche qui sépare le portail de la partie haute de la façade est décorée de modillons entre lesquels des animaux ont été sculptés (poissons, lézard, sirène). Une partie de la façade à été refaite. Le clocher est plus récent que la nef (vers 1200). On peut aussi voir des statuettes représentant des personnages célèbre. L’église a été bâti de travers c’est pour cela qu’ils l’ont renforcée avec des contreforts de pierres. Dans l’église on entendait la source couler.
Cette sortie vélo était très bien même si certains petits élèves de sixième n’avançaient pas vite. J’ai aussi été très contente de retrouver Alexandre et de pouvoir continuer à faire les sorties vélo comme ça. Cela me rappelle de bons souvenirs!!! Je remercie monsieur Mastorgio de m’avoir invitée et je remercie aussi madame Grollier d’avoir accepté que je vienne.
Manon.
En ce second jour d’école ouverte, un groupe particulièrement courageux, n’ayons pas peur des mots, brava les éléments déchainés qui s’abattent depuis quelques temps sur notre vert Poitou. Ce dernier, le groupe, pas le POitou, était composé d’élèves représentant toutes les années du collège, de la 6è à la 3è, mais aussi de deux anciens de notre cher Torchon qui, pour l’heure, brillent, tout comme le Torchon, au firmament du palmarès de leurs lycées, ce dont je suis fort fier, ayant été leur intraitable prof. principal l’an dernier. Il s’agissait donc, ce jour, de se rendre en la riante cité de Colombiers, certes toute proche, mais sous la pluie tout semble long. Fort heureusement, Eole au souffle puissant, de par sa bienveillance nous préserva de l’ondée, fut-elle passagère, qui menaçait. Bien mieux, après notre déjeuner, pris à côté d’une aire de jeux, les nuages gris cavalant dans le ciel à vive allure se trouvèrent-ils remplacés par de douces montagnes adamantines et floconeuses qui n’avaient plus rien d’effrayant. Tout au plus, au cours de cette escapade, quelques gouttes égarées trouvèrent-elles le temps de tomber sur l’un ou l’une d’entre nous. Au cours de ces 30 km, qui prouvèrent que les zélèves ne maitrisent pas aussi bien la géo (ouf, je justifie mon emploi) que votre serviteur, nous eûmes l’occasion de visiter l’église de Colombiers, ouverte pour nous, de déambuler dans le village, de nous rendre à Scorbé-Clairvaux, afin d’en admirer le château, puis de revenir par la ligne verte, alors que le matin nous avions traversé la forêt de Châtellerault, par des sentes qui nous permirent de profiter pleinement de l’éveil de la faune et de la flore, au sortir d’un rigoureux hiver qui peine à s’achever, évitant ainsi, tout au long du jour, le voisinage détestable du monde automobile.
Concession audit univers motorisé, demain et jeudi nous profitons de l’aimable appui du centre social d’Ozon pour nous rendre un peu plus loin, à suivre donc.